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Critique de Darkhorse
C'est un bel objet que j'ai reçu de la part de 404 éditions et grâce à la dernière masse critique graphique (merci !). Un gros comics en forme de roman graphique qui en jette avec sa belle couverture et le superbe travail de Chris Shehan aux dessins et Jason Wordie aux couleurs.
Les cases et les pleines pages sont vraiment magnifiques, tout en aquarelle, et plongent le lecteur en pleine immersion automnale, au milieu des feuilles rousses et de l'horreur grandissante.
Le scénario est quant à lui orchestré par Daniel Kraus, ayant oeuvré avec Guillermo del Toro pour La forme de l'eau et Trollhunters.
Et c'est un récit assez classique qu'il nous offre, celui d'une malédiction frappant une petite ville tranquille des États-Unis.
Kat, une jeune maman bien rock'n roll dans l'âme, arrive à Comfort Notch avec sa fille Sybil. la mère de Kat vient de mourir et elle lui a légué sa maison. Tout en essayant de s'intégrer et de se refaire une nouvelle vie, Kat et Sybil vont peu à peu se confronter au mystère qui gangrène Comfort Notch. Un mystère lié au passé de Kat, et qui se manifeste à travers chaque feuille passant devant son nez...
J'ai quand même eu du mal à me laisser embarquer par cette intrigue éculée, malgré le fait que les feuilles omniprésentes, à la limite de la personnification (du moins pas aussi personnifiées que leur source), apportent avec elles une certaine couleur dans l'atmosphère du récit.
C'est justement la couleur du graphisme qui fait tout le sel de ce comics et qui aide le climax à se faire réellement ressentir. Les dernières pages nous plongent en pleine folie et sont assez marquantes.
Les cases et les pleines pages sont vraiment magnifiques, tout en aquarelle, et plongent le lecteur en pleine immersion automnale, au milieu des feuilles rousses et de l'horreur grandissante.
Le scénario est quant à lui orchestré par Daniel Kraus, ayant oeuvré avec Guillermo del Toro pour La forme de l'eau et Trollhunters.
Et c'est un récit assez classique qu'il nous offre, celui d'une malédiction frappant une petite ville tranquille des États-Unis.
Kat, une jeune maman bien rock'n roll dans l'âme, arrive à Comfort Notch avec sa fille Sybil. la mère de Kat vient de mourir et elle lui a légué sa maison. Tout en essayant de s'intégrer et de se refaire une nouvelle vie, Kat et Sybil vont peu à peu se confronter au mystère qui gangrène Comfort Notch. Un mystère lié au passé de Kat, et qui se manifeste à travers chaque feuille passant devant son nez...
J'ai quand même eu du mal à me laisser embarquer par cette intrigue éculée, malgré le fait que les feuilles omniprésentes, à la limite de la personnification (du moins pas aussi personnifiées que leur source), apportent avec elles une certaine couleur dans l'atmosphère du récit.
C'est justement la couleur du graphisme qui fait tout le sel de ce comics et qui aide le climax à se faire réellement ressentir. Les dernières pages nous plongent en pleine folie et sont assez marquantes.
