L'Histoire comme trahison, son récit comme duplicité. Avec une grande maîtrise,
Chris Kraus happe le lecteur dans ce monologue d'une ordure ordinaire. Au centre des pires atrocités, Koja Solm se disculpe et le lecteur partage ses souffrances, amours contrariées et haine fraternelle, tout au long de ce récit, de Riga à Tel-Aviv, d'une impunité nazie.
La fabrique des salauds captive en dépit de ses excès.
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