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Critique de dbacquet


Dans la « littérature démolie » Karl Kraus évoque la transformation de Vienne en métropole moderne et l'imminente disparition du Café Griensteidl où régnait dans une atmosphère fin de siècle une grande effervescence intellectuelle. C'est cependant avec beaucoup d'ironie et, parfois même, des formules assassines, que Karl Kraus évoque les jeunes talents littéraires de cette époque auxquels il reproche une certaine affectation. Karl Kraus était passé maître dans une satire virulente, faisant feu de tout bois, pourfendant l'hypocrisie, mettant en relief l'absurdité de certaines situations, dénonçant la bassesse et la bêtise, avec une fougue et un brio qui médusaient ses lecteurs et son auditoire, comme le rappelle, dans sa préface, Elias Canetti.
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