Il serait près d’elle du matin au soir. Il ne manquerait pas de devenir fou. Sa passion le consumerait tout entier à chaque occasion qu’il aurait de s’abandonner au chant de la sirène. Ce serait le paradis. Ce serait l’enfer.
Défiez-vous du baiser mortel du Cerbère lorsque vous percerez son cœur à la recherche de la clé…
- Êtes-vous en train d’expliquer que ma connaissance de la gent féminine est insuffisante, Miss Wingfield ?
- Absolument.
- Alors peut-être devrais-je étudier le sujet de plus près. Il est de mon devoir pour parfaire l’éducation que je donne de m’instruire encore et toujours. Sans doute devrai-je trouver un cobaye… Qu’en dites-vous ? Seriez-vous volontaire ?
Je ne peux plus attendre, ma sirène, j’ai besoin de votre chant, murmura-t-il.