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Critique de Stefane59
Jay Kristoff. Nevernight. Tome 1. De Saxus 753 p 5 étoiles.
Un chef d'oeuvre. Une merveille. La violence des événements. Et des mots. L'ignominie des ennemis. le courage incroyable de la jeune héroïne dont le père était l'un des plus hauts dignitaires de l'Empire.
Un récit qui nous offre des émotions très fortes et contrastées. Une aventure haletante. En passant, une trouvaille stylistique/esthétique : l'utilisation les 1ers chapitres des mêmes phrases dans 2 contextes différents interreliés. Déstabilisant. Très amusantes : les notes en bas de page qui fait ressembler son livre à l'oeuvre d'un érudit.
Un peu d'humour pour nous arracher de temps en temps un sourire dans cette aventure diaboliquement envoûtante…
Des sourires arrachés…et des coups de poings dans le ventre.
P 122. Rupture dans la structure du récit. Surprise…
P228. Là on assiste à un événement dramatique. Mia n'est pas inconsciente tout de même. Pourquoi défier Solis ? Et le marquer ? Alors qu'elle joue sa vie dans cette école ?
3 autres incohérences successives :
P 346. Mia est devant un personnage qui a fait souffrir son père (e.a…) et elle ne réagit pas immédiatement ?
P 358 et 360 : …je me suis dit : l'auteur déconne ce livre va devenir nul…
Et bien non : p 365, Jay lève toutes les incohérences. Très bon effet de laisser s'accumuler des discordances pour ensuite tout expliquer au grand soulagement du lecteur.
P 600 très subtil
P 660 rebondissement…
Bref Jay Kristoff joue avec nos nerfs du début à la fin. Un magicien de l'émotion. Un envouteur : plus moyen de lâcher ce livre à partir du chapitre 10 (sur 35). Jusqu'au bout de la nuit. Des caractères forts. Une grande aventure qui imprime en nous une succession d'images et d'émotions rémanentes des décors et des situations qui persistent des mois après avoir refermé le bouquin…On passe sa main sur la couverture en relief…Un ovni de la littérature Fantasy.
Un chef d'oeuvre. Une merveille. La violence des événements. Et des mots. L'ignominie des ennemis. le courage incroyable de la jeune héroïne dont le père était l'un des plus hauts dignitaires de l'Empire.
Un récit qui nous offre des émotions très fortes et contrastées. Une aventure haletante. En passant, une trouvaille stylistique/esthétique : l'utilisation les 1ers chapitres des mêmes phrases dans 2 contextes différents interreliés. Déstabilisant. Très amusantes : les notes en bas de page qui fait ressembler son livre à l'oeuvre d'un érudit.
Un peu d'humour pour nous arracher de temps en temps un sourire dans cette aventure diaboliquement envoûtante…
Des sourires arrachés…et des coups de poings dans le ventre.
P 122. Rupture dans la structure du récit. Surprise…
P228. Là on assiste à un événement dramatique. Mia n'est pas inconsciente tout de même. Pourquoi défier Solis ? Et le marquer ? Alors qu'elle joue sa vie dans cette école ?
3 autres incohérences successives :
P 346. Mia est devant un personnage qui a fait souffrir son père (e.a…) et elle ne réagit pas immédiatement ?
P 358 et 360 : …je me suis dit : l'auteur déconne ce livre va devenir nul…
Et bien non : p 365, Jay lève toutes les incohérences. Très bon effet de laisser s'accumuler des discordances pour ensuite tout expliquer au grand soulagement du lecteur.
P 600 très subtil
P 660 rebondissement…
Bref Jay Kristoff joue avec nos nerfs du début à la fin. Un magicien de l'émotion. Un envouteur : plus moyen de lâcher ce livre à partir du chapitre 10 (sur 35). Jusqu'au bout de la nuit. Des caractères forts. Une grande aventure qui imprime en nous une succession d'images et d'émotions rémanentes des décors et des situations qui persistent des mois après avoir refermé le bouquin…On passe sa main sur la couverture en relief…Un ovni de la littérature Fantasy.
