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Critique de Hoody
Je ne commente pas souvent les livres qui me passent sous la main, mais je ferai volontiers une exception pour celui-ci. Attention aux spoils, chers amis.
Je fais parti de ceux qui n'ont pas spécialement apprécié la lecture du premier tome. En effet, ça ne m'a jamais paru crédible, je le jugeais trop "enfantin", ce qui tranchait avec la volonté de l'auteur d'en faire quelque chose de très sombre. Ce décalage m'a constamment dérangé.
Et puis quand j'ai compris que le tome 2 allait nous plonger dans l'univers Gladiatii, je me suis dis "A quoi bon ?". ça ne me disait rien qui vaille mais pour une raison quelconque, j'ai poursuivi ma lecture.
Et contrairement au premier, j'ai adoré ce second volet.
-Les personnages sont davantage travaillés (notamment Mia, mais aussi Sidonius, Leona, l'Executus, la complexe Ashlinn ...) ;
-L'idée de scinder la première partie du livre entre passé et présent a apporté une dynamique salutaire. Il n'y a quasiment pas de temps mort, ce livre est un véritable pageturner ;
-Les derniers chapitres procurent une foule d'émotions et l'effet donne un côté visuelle presque palpable. On avait l'impression d'être dans l'arène, par moment. le duel avec la Soyante restera d'ailleurs dans ma tête un moment, tellement j'ai eu la frousse.
Alors oui, ce livre n'est pas parfait.
-Il y'a toujours certaines longueurs dans la narration de l'auteur. Oui, on sait que Mia a tout perdu, mais on aimerait parfois passer à autre chose.
-Mia ne pardonne-t'elle pas trop vite à Ashlinn ?
-Et cette flopée de révélation dans les ultimes pages, n'est-ce pas un peu too much ? Allons-nous réellement revivre la scène : "tchhh..... Je suis ton père" ... ?
Sans doute que oui. Mais quand je compare mon état d'esprit entre la fin du premier livre et celui du second, je me dis que l'auteur a su me renverser comme je ne l'aurais pas envisagé.
Donc pour moi, ces 5 étoiles sont méritées.
Et pour ceux qui se sentent offensés d'avoir été insultés de "Connard" par l'auteur dans l'une de ses quelques (controversées) notes présentes dans le livre : prenez un peu de hauteur. L'auteur n'a sans doute rien de personnel contre vous.
Je fais parti de ceux qui n'ont pas spécialement apprécié la lecture du premier tome. En effet, ça ne m'a jamais paru crédible, je le jugeais trop "enfantin", ce qui tranchait avec la volonté de l'auteur d'en faire quelque chose de très sombre. Ce décalage m'a constamment dérangé.
Et puis quand j'ai compris que le tome 2 allait nous plonger dans l'univers Gladiatii, je me suis dis "A quoi bon ?". ça ne me disait rien qui vaille mais pour une raison quelconque, j'ai poursuivi ma lecture.
Et contrairement au premier, j'ai adoré ce second volet.
-Les personnages sont davantage travaillés (notamment Mia, mais aussi Sidonius, Leona, l'Executus, la complexe Ashlinn ...) ;
-L'idée de scinder la première partie du livre entre passé et présent a apporté une dynamique salutaire. Il n'y a quasiment pas de temps mort, ce livre est un véritable pageturner ;
-Les derniers chapitres procurent une foule d'émotions et l'effet donne un côté visuelle presque palpable. On avait l'impression d'être dans l'arène, par moment. le duel avec la Soyante restera d'ailleurs dans ma tête un moment, tellement j'ai eu la frousse.
Alors oui, ce livre n'est pas parfait.
-Il y'a toujours certaines longueurs dans la narration de l'auteur. Oui, on sait que Mia a tout perdu, mais on aimerait parfois passer à autre chose.
-Mia ne pardonne-t'elle pas trop vite à Ashlinn ?
-Et cette flopée de révélation dans les ultimes pages, n'est-ce pas un peu too much ? Allons-nous réellement revivre la scène : "tchhh..... Je suis ton père" ... ?
Sans doute que oui. Mais quand je compare mon état d'esprit entre la fin du premier livre et celui du second, je me dis que l'auteur a su me renverser comme je ne l'aurais pas envisagé.
Donc pour moi, ces 5 étoiles sont méritées.
Et pour ceux qui se sentent offensés d'avoir été insultés de "Connard" par l'auteur dans l'une de ses quelques (controversées) notes présentes dans le livre : prenez un peu de hauteur. L'auteur n'a sans doute rien de personnel contre vous.
