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Critique de bbpoussy
J'ai lu tous les romans de Dame Agatha mais jamais je n'ai eu l'idée de lire sa biographie. Il faut dire qu'avant, je ne lisais pas de biographie alors que je m'y mets maintenant.
C'est sur les conseils d'une VendrediLectrice que j'ai choisi celle-ci.
Il faut dire qu'elle est assez riche en événements.
Dame Agatha n'a pas eu un seul moment pour s'ennuyer.
Deux guerres mondiales, deux époux et une fille, de très nombreux voyages et une imagination fertile qui lui a permis d'écrire des romans policiers qui ont captivés, captivent et captiveront encore un très large public.
Cette biographie parle également de cette fameuse disparition. Elle commence d'ailleurs par cette période avant de revenir en arrière.
Finalement, je crois qu'Agatha aura emportée son secret avec elle. La version avancée ne m'a pas convaincue.
J'ai été obligé d'alterner avec d'autres lectures tellement cette biographie est riche. Trop parfois, car même les repas sont annoncés ! On comprend mieux les 12 kg qu'elle a pris après la seconde guerre mondiale, car oui, le poids est aussi indiqué !
Ce que j'ai le plus aimé c'est les détails sur les périodes et ce qui a fait que tel ou tel roman a été écrit.
Dans "Confidence aux lecteurs du Club des masques" elle dévoile, un peu, sa manière de travailler ses policiers : "Vous choisissez votre coupable en vous mettant dans sa peau, vous décidez des moyens qui vous permettent le mieux de masquer sa culpabilité. Ensuite, ayant fait votre plan, vous recommencez votre exposé par le début en vous plaçant du point de vue du spectateur."
Mais il n'y a pas que les romans, que ce soit sous la signature Agatha Christie ou Mary Westmacott mais aussi les nombreuses pièces de théâtre qui semblaient être ce qu'elle aimait le plus finalement.
Elle n'a aimé aucun des films tirés de ses romans à part peut-être "Le crime de l'orient express" avec Albert Finney et encore, la moustache n'était pas à la hauteur de ce très cher Hercule Poirot et bien que ce dernier lui tapait sur les nerfs à la fin.
J'aurai aimé savoir si David Suchet lui aurait convenu ?
Idem sur le fait, que sa famille ait choisi de le faire revenir à la vie par la plume de Sophie Hannah. Pour l'avoir tenter, je trouve juste que c'est inadmissible ! Pauvre Hercule, pauvre Agatha.
Vous l'aurez compris, je suis fan de cette autrice aux mille facettes. J'ai plongé dans un de ses romans les plus connus et qui a changé de nom à cause de son arrière-petit-fils, James Prichard, en août 2020 pour devenir "Ils étaient dix", lorsque j'avais 11 ans. J'ai découvert grâce à elle le genre policier. J'ai lu de nombreux romans de différents auteurs depuis et aujourd'hui, je prends plaisir à relire ses romans qui sont toujours aussi surprenants.
En 1980, l'Unesco a annoncé qu'elle a vendu 400 millions de livres ! Phénoménal !
Personne n'arrive à la cheville de la reine du crime, pour moi en tous cas.
(Pour ceux qui n'ont pas lu l'ensemble de ses oeuvres, je vous déconseille ce livre qui pourrait vous révéler de nombreuses fins ce qui serait bien dommage.)
C'est sur les conseils d'une VendrediLectrice que j'ai choisi celle-ci.
Il faut dire qu'elle est assez riche en événements.
Dame Agatha n'a pas eu un seul moment pour s'ennuyer.
Deux guerres mondiales, deux époux et une fille, de très nombreux voyages et une imagination fertile qui lui a permis d'écrire des romans policiers qui ont captivés, captivent et captiveront encore un très large public.
Cette biographie parle également de cette fameuse disparition. Elle commence d'ailleurs par cette période avant de revenir en arrière.
Finalement, je crois qu'Agatha aura emportée son secret avec elle. La version avancée ne m'a pas convaincue.
J'ai été obligé d'alterner avec d'autres lectures tellement cette biographie est riche. Trop parfois, car même les repas sont annoncés ! On comprend mieux les 12 kg qu'elle a pris après la seconde guerre mondiale, car oui, le poids est aussi indiqué !
Ce que j'ai le plus aimé c'est les détails sur les périodes et ce qui a fait que tel ou tel roman a été écrit.
Dans "Confidence aux lecteurs du Club des masques" elle dévoile, un peu, sa manière de travailler ses policiers : "Vous choisissez votre coupable en vous mettant dans sa peau, vous décidez des moyens qui vous permettent le mieux de masquer sa culpabilité. Ensuite, ayant fait votre plan, vous recommencez votre exposé par le début en vous plaçant du point de vue du spectateur."
Mais il n'y a pas que les romans, que ce soit sous la signature Agatha Christie ou Mary Westmacott mais aussi les nombreuses pièces de théâtre qui semblaient être ce qu'elle aimait le plus finalement.
Elle n'a aimé aucun des films tirés de ses romans à part peut-être "Le crime de l'orient express" avec Albert Finney et encore, la moustache n'était pas à la hauteur de ce très cher Hercule Poirot et bien que ce dernier lui tapait sur les nerfs à la fin.
J'aurai aimé savoir si David Suchet lui aurait convenu ?
Idem sur le fait, que sa famille ait choisi de le faire revenir à la vie par la plume de Sophie Hannah. Pour l'avoir tenter, je trouve juste que c'est inadmissible ! Pauvre Hercule, pauvre Agatha.
Vous l'aurez compris, je suis fan de cette autrice aux mille facettes. J'ai plongé dans un de ses romans les plus connus et qui a changé de nom à cause de son arrière-petit-fils, James Prichard, en août 2020 pour devenir "Ils étaient dix", lorsque j'avais 11 ans. J'ai découvert grâce à elle le genre policier. J'ai lu de nombreux romans de différents auteurs depuis et aujourd'hui, je prends plaisir à relire ses romans qui sont toujours aussi surprenants.
En 1980, l'Unesco a annoncé qu'elle a vendu 400 millions de livres ! Phénoménal !
Personne n'arrive à la cheville de la reine du crime, pour moi en tous cas.
(Pour ceux qui n'ont pas lu l'ensemble de ses oeuvres, je vous déconseille ce livre qui pourrait vous révéler de nombreuses fins ce qui serait bien dommage.)
