Nez-de-Cuir, gentilhomme d'amour

Je partais dans cette lecture plein d'espoir.
Quand un écrivain se regarde écrire cela donne parfois : Nez- de- Cuir.
Pas terminé.

Je n'aime pas laisser une lecture inachevée mais tant pis. J'ai pris ce livre car j'ai habité une rue portant le nom de cet auteur.
Revenant de la guerre défiguré par une blessure, le héros se retrouve à porter un masque de cuir (personnage inspiré par un grand-oncle de l'auteur). Cela va-t-il le faire renoncer à séduire les dames ? Bien sûr que non, en effet il est riche et athlétique, de plus décoré pour son sacrifice, donc forcément, les jupons frétillent à sa vue.
Le style est extrêmement vieilli, La Varende veut faire du Dumas à l'eau de rose, mais c'est raté. On est un siècle après et c'est pourtant beaucoup moins moderne.