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Critique de Meresauvage
Si vous cherchez les détails historiques, il vaut sans doute mieux passer votre chemin. La préface l'annonce d'emblée, Benjamin Lacombe a pris quelques libertés, notamment en rédigeant des extraits de journal intime de la reine. Un journal intime, Marie-Antoinette n'en a en fait jamais tenu – elle n'avait aucune passion pour l'écriture. Il s'est inspiré de ses lectures, de l'image qu'il avait de la reine pour rédiger ses pensées. C'est une Marie-Antoinette très « Coppolienne » qu'il dépeint et il ne s'en cache pas, le film de Sofia Coppola étant l'une de ses inspirations.
Ses illustrations dépeignent la jeune autrichienne sous ses différentes facettes : femme-enfant, capricieuse, gourmande, reine de la mode. Une femme qu'il était très agréable de regarder à l'époque et que l'on se plaît à (re)découvrir aujourd'hui.
Seul petit bémol : au milieu des pages de journal intime se trouvent des extraits de la correspondance que Marie-Antoinette entretenait avec sa mère, l'impératrice Marie-Thérèse. Et là, impossible distinguer le réel de l'inventé.
Un très bel ouvrage, quoi qu'il en soit, qui m'a donné envie de re-re-regarder le film de Sofia Coppola et d'enfin découvrir la biographie écrite par Stefan Zweig.
Lien : http://milleviesenune.com/ma..
Ses illustrations dépeignent la jeune autrichienne sous ses différentes facettes : femme-enfant, capricieuse, gourmande, reine de la mode. Une femme qu'il était très agréable de regarder à l'époque et que l'on se plaît à (re)découvrir aujourd'hui.
Seul petit bémol : au milieu des pages de journal intime se trouvent des extraits de la correspondance que Marie-Antoinette entretenait avec sa mère, l'impératrice Marie-Thérèse. Et là, impossible distinguer le réel de l'inventé.
Un très bel ouvrage, quoi qu'il en soit, qui m'a donné envie de re-re-regarder le film de Sofia Coppola et d'enfin découvrir la biographie écrite par Stefan Zweig.
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