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Critique de zouips
Ce thriller psychologique nous tient sous son emprise tout au long de ses 394 pages. L'ambiance est pesante , oppressante , les personnages bien définis nous emportent dans leur course contre la montre. Un psychopathe assassine à tour de bras. le lecteur est piégé par le machiavélisme de l'auteur qui le manipule sans qu'il s'en rende vraiment compte. On croit avoir démasqué l'assassin mais on sent bien que quelque chose nous échappe et ce n'est qu'à la toute fin qu'on comprend qu'on s'est fait manipuler.
Victor Venturi, excellent commissaire de police , craint et respecté de tous se retrouve avec sur les bras six cadavres retrouvés dans une chapelle abandonnée. Les cadavres nus, intégralement rasés et épilés sont recouverts d'une sorte de cire et placés en position foetale. Venturi, devant la complexité de l'affaire demande l'aide d'une psychologue criminelle afin d'interpréter cette scène et d'en profiler l'auteur.
Parallèlement, une voyante , Ophélie, se sent épiée et en danger dans sa maison depuis qu'elle a des visions concernant ces meurtres et leur macabre mise en scène.
C'est à un rythme soutenu qu'Alexis Laipsker nous entraine sur les pas du commissaire Venturi et de la psychologue Olivia Montalivert dans cette course contre la montre terrifiante qui nous tient en haleine du début à la fin . de rebondissements en fausses pistes, l'auteur nous balade pour mieux nous donner le coup de grâce avec un dénouement pour le moins inattendu.
Victor Venturi, excellent commissaire de police , craint et respecté de tous se retrouve avec sur les bras six cadavres retrouvés dans une chapelle abandonnée. Les cadavres nus, intégralement rasés et épilés sont recouverts d'une sorte de cire et placés en position foetale. Venturi, devant la complexité de l'affaire demande l'aide d'une psychologue criminelle afin d'interpréter cette scène et d'en profiler l'auteur.
Parallèlement, une voyante , Ophélie, se sent épiée et en danger dans sa maison depuis qu'elle a des visions concernant ces meurtres et leur macabre mise en scène.
C'est à un rythme soutenu qu'Alexis Laipsker nous entraine sur les pas du commissaire Venturi et de la psychologue Olivia Montalivert dans cette course contre la montre terrifiante qui nous tient en haleine du début à la fin . de rebondissements en fausses pistes, l'auteur nous balade pour mieux nous donner le coup de grâce avec un dénouement pour le moins inattendu.
