AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
2,54

sur 14 notes
5
0 avis
4
3 avis
3
3 avis
2
5 avis
1
1 avis

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Alors là ! Difficile d'exprimer mon ressenti.
Gaia, jeune étudiante, trouve ses premiers emplois.
D'une vallée italienne jusqu'à Venise, elle nous fait partager son ressenti et ses expériences.
La plupart des chapitres, commencent par « Aujourd'hui, je me suis levée, j'ai……. »
De nombreuses parenthèses pour dire « Je vous en parlerai plus tard » ou « Comme je l'ai déjà dit »
Tout ça pourrait être assez sympathique, si, entre autre, elle nommait ses parents autrement que « mon géniteur » ou « ma génitrice ». Parents bien particuliers d'ailleurs, surtout le père.
Bref, une impression de tourner en rond, de revenir toujours à la même chose, à la manière d'un autiste.
Quant à sa vie sociale et professionnelle, j'ai trouvé cela confus, bizarre, peu clair.
Le style est étrange lui aussi, peu fouillé, peu agréable.
J'ai eu du mal à terminer le livre
Merci cependant à Masse critique et aux éditions le serpent à plumes
Commenter  J’apprécie          210
Gaïa, jeune femme italienne, nous expose son quotidien avec humour noir et autodérision. Entre ses divers aller-retour à l'hôpital pour ses crises d'angoisses, sa mère ultra patiente avec elle bien que mise en arrière plan par Gaïa, son père réellement malade, ses petits boulots au centre d'appel ou au restaurant, Gaïa se livre à travers diverses anecdotes.

Je ne connaissais pas l'auteur et très peu la maison d'édition le Serpent à Plumes avant d'accepter de recevoir ce livre. Je me suis laissée tenter par le résumé, le titre et l'originale couverture du livre.

Autant vous le dire tout de suite, j'ai eu énormément de mal à lire ce roman, mais comme je n'aime pas abandonner un livre, je me suis accrochée. Durant toute ma lecture, mon attention n'arrivait pas à se porter sur ce que je lisais. Et pourtant, il est nécessaire d'être attentif car l'auteur nous parle de plein de choses différentes, de manière parfois un peu décousue, mais cela reflète assez bien la personnalité de Gaïa. Elle fait parfois références à des personnages, des lieux ou des situations décrites dans les pages précédentes (du genre : j'ai rencontré untel mais j'en parlerai plus en détail après / ou je reviendrais sur ce lieu plus tard), il faut donc être un minimum concentré.

J'ai cependant aimé les passages concernant son travail ou sa recherche d'emploi. Elle nous décrit une société difficile et précaire à travers des situations concrètes et parfois poussées à l'extrême.

J'ai eu un peu plus de mal lorsqu'elle parle de sa famille, plus précisément de sa "génitrice" et de son "géniteur". Termes qui montrent le rapport plus que distant qu'elle entretient avec ses parents.

Malgré mon avis mitigé, je pense que ce court roman saura trouvé son lectorat. Dommage pour ma part d'être passée à côté ...
Lien : http://lespetitslivresdelizo..
Commenter  J’apprécie          20
Je ne suis pas très à l'aise pour vous parler de ce livre.
Je VOULAIS l'aimer ! Je le voulais vraiment.
Il m'a été pitché à merveille, la langue légère et drôle de l'extrait, cette jeune étudiante en galère, profondément paradoxale : je pensais m'y retrouver.
J'avais flashé ! de la couverture graphique à l'ambiance vénitienne.

Mais non. Non, définitivement.

Cette jeune femme me semble artificielle avec tous ses tocs et ses amis qu'on ne rencontre pas. Dont on ne sait rien alors qu'ils sont souvent plus prometteurs qu'elle.
La langue qui me faisait tant sourire échoue pour moi sur la longueur : je me suis lassée.
Si, j'ai aimé le « Petit Lave-Linge » ou les réflexions sur les chats.

Je suis pourtant ressortie un peu blasée et vide.
Avec un sentiment de vacuité et de fog grisâtre.

Je suis peut-être tout simplement passée à côté, tant pis.
Commenter  J’apprécie          10
"Gaia est Gaia. Gaia habite une sublime vallée italienne où les vieilles femmes persécutent les limaces. Puis Gaia rejoint Venise où les petits chefs des centres d'appels persécutent les étudiantes en langues rares dans son genre. Gaia a un père facétieux quoique fragile. Gaia a une mère patiente mais pas que. Gaia aime les chats et vit en colocation. Gaia n'est peut-être pas hypocondriaque mais est certaine plusieurs fois par semaine d'être victime d'un infarctus, notamment. En somme, Gaia c'est toi ou si ce n'est toi c'est donc ton frère, ta soeur, ta fille ou ta voisine, cette personne humaine magnifique, drôle et d'une énergie rare, cette délicieuse joie." (4ème de couverture)

J'ai retranscrit à dessein cette quatrième de couverture, car une fois n'est pas coutume, elle résume plutôt que le fond, la forme de ce texte. Mal fichu (j'ai du mal avec l'ultime phrase, et avec les autres aussi) et se voulant léger et drôle et ne m'apparaissant que léger. le problème avec l'humour c'est qu'il doit être partagé, et là, je n'adhère pas. Ginevra Lamberti use et abuse des répétitions, comme dans le résumé avec le prénom de son héroïne. C'est bien lorsque ça fonctionne et surtout que ça ne dure pas, le problème étant que ça dure dans ce roman. Long et bavard en plus d'être mal ficelé, ce bouquin n'est pas une réussite, si j'ajoute que les personnages sont survolés, pas travaillés en profondeur, vous aurez une idée plus précise de la vacuité du texte.
Lien : http://www.lyvres.fr/
Commenter  J’apprécie          10
Déjà je remercie l'opération masse critique de babelio qui m'a permis de pouvoir lire ce livre. Mais j'avoue que je suis assez perdue. J'ai trouvé ce livre complètement bordélique. C'est un livre écrit par Gaïa, une italienne étudiante, qui bosse dans un call center, qui passe du temps sur les réseaux sociaux, qui est souvent sujette aux crises d'angoisse, qui a une copine cosmonaute et qui habite dans une vallée. Gaïa tente d'entrer dans le monde réel, celui du travail, après ses longues études mais elle retarde un peu le moment. C'est un portrait plein d'autodérision et d'humour noir mais un peu trop exagéré à mon goût. J'ai apprécié les moments où Gaïa cherche un job, surtout celui où elle bosse dans un restau et nous décrit très bien le comportement typique du Client avec un grand C, car je m'y suis reconnue ayant moi-même longtemps bossé dans la restauration. A part ça, j'ai trouvé le tout un peu plat. L'histoire concernant sa famille n'est pas très intéressante, le style est un peu mou et très désordonné, pas mal de répétitions et de clichés. Je n'ai pas réussi à m'y intéresser, j'ai mis du temps à le lire car je n'étais pas du tout dedans. Par contre j'ai trouvé ça sympa qu'elle n'utilise pas de prénom pour les autres perso de l'histoire ; nous avons seulement le droit à : ma génitrice, la psychologue, grand-mère d'en haut, etc.

En bref je n'ai malheureusement pas accroché avec le style de l'auteur, ni avec l'histoire en elle-même que j'ai trouvé fade et bordélique. Seul les passages sur ses recherches d'emploi sont intéressants. C'est bien dommage.
Lien : https://petitpingouinvert.co..
Commenter  J’apprécie          10

Lecteurs (21) Voir plus



Quiz Voir plus

Grandes oeuvres littéraires italiennes

Ce roman de Dino Buzzati traite de façon suggestive et poignante de la fuite vaine du temps, de l'attente et de l'échec, sur fond d'un vieux fort militaire isolé à la frontière du « Royaume » et de « l'État du Nord ».

Si c'est un homme
Le mépris
Le désert des Tartares
Six personnages en quête d'auteur
La peau
Le prince
Gomorra
La divine comédie
Décaméron
Le Nom de la rose

10 questions
831 lecteurs ont répondu
Thèmes : italie , littérature italienneCréer un quiz sur ce livre

{* *}