Ce fut en ce moment que le journalier Mathieu parut devant Raoul : celui-ci lui enjoignit de se mettre sur-le-champ en route pour la ville, afin d'aller jeter à la poste une lettre qui pressait. En lui donnant cet ordre, il sortit la missive de l'asile qu'il lui avait procuré ; il la regarde, selon son usage, pour examiner le cachet ; et, ô surprise sans pareille ! le papier est couvert de larges gouttes de sang, qui permettent à peine de pouvoir lire l'adresse !!!