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Critique de MaminouG
Lorsque le site Babelio, dans le cadre d'une Masse Critique privilégiée, m'a proposé de lire "La peau des hommes", premier roman de Camille Lanvin, j'ai tout de suite accepté. J'aime entrer dans un livre sans rien en connaître, le découvrir seule, sans avoir lu les avis des autres lectrices et lecteurs ni même la quatrième de couverture.
Oui mais voilà, on ne peut pas gagner à tous les coups. Je dois avouer qu'il m'a été difficile d'arriver au bout de cette lecture. Ce livre n'était pas pour moi, c'est évident. Je n'ai trouvé aucun intérêt à l'histoire d'Estelle, qui a quitté Ganaël, celui qu'elle aimait, pour survivre. Elle lui avait tout donné et se retrouvait face à un homme égoïste qui l'aimait en retour, certes, mais lui préférait son parachute, ses sauts, le club où il passait le plus clair de son temps. Elle abandonne leur domicile, loue un petit appartement et commence alors une vie de rencontres. Les hommes qu'elle croise – elle est attirée par leur peau – et avec lesquels elle partage des moments dénués d'amour mais forts en sexualité sont beaux ou non mais lui apportent quelque chose. Hélas, je n'ai pas été sensible à leur charme.
Sans doute n'ai-je pas compris le fond du roman. Sans doute n'ai pas réussi à décrypter le "regard lucide sur l'amour et les relations humaines que nous offre l'auteur" expliqué en quatrième de couverture. Je n'y ai vu qu'une suite de scènes de sexe, répétitives, vantant la beauté d'Estelle, sans que rien ne s'installe véritablement. Je me suis lassée à compter le nombre de ses conquêtes, je ne leur ai trouvé aucun côté attachant et j'ai fini par m'ennuyer. Après tout il y a un âge pour tout et sans doute suis-je trop âgée pour apprécier ce genre de romance.
Je n'ai pas davantage été happée par l'écriture, sans relief à mes yeux. Seul le dernier paragraphe m'a quelque peu émue. le mots d'Estelle adressés à Yann Quermeur au bord de sa tombe ont quelque chose de véritablement touchant. Il est le père de sa dernière conquête et… je ne vous en dis pas plus.,
Très respectueuse des auteurs, il m'est toujours difficile d'émettre un avis négatif sur un roman, mais je tiens à rester honnête. Je remercie néanmoins Babelio et la maison d'éditions dont je ne sais trop s'il s'agit d'Harlequin, Harper Collins France ou &H. Et j'espère que ce récit trouvera son lectorat.
Oui mais voilà, on ne peut pas gagner à tous les coups. Je dois avouer qu'il m'a été difficile d'arriver au bout de cette lecture. Ce livre n'était pas pour moi, c'est évident. Je n'ai trouvé aucun intérêt à l'histoire d'Estelle, qui a quitté Ganaël, celui qu'elle aimait, pour survivre. Elle lui avait tout donné et se retrouvait face à un homme égoïste qui l'aimait en retour, certes, mais lui préférait son parachute, ses sauts, le club où il passait le plus clair de son temps. Elle abandonne leur domicile, loue un petit appartement et commence alors une vie de rencontres. Les hommes qu'elle croise – elle est attirée par leur peau – et avec lesquels elle partage des moments dénués d'amour mais forts en sexualité sont beaux ou non mais lui apportent quelque chose. Hélas, je n'ai pas été sensible à leur charme.
Sans doute n'ai-je pas compris le fond du roman. Sans doute n'ai pas réussi à décrypter le "regard lucide sur l'amour et les relations humaines que nous offre l'auteur" expliqué en quatrième de couverture. Je n'y ai vu qu'une suite de scènes de sexe, répétitives, vantant la beauté d'Estelle, sans que rien ne s'installe véritablement. Je me suis lassée à compter le nombre de ses conquêtes, je ne leur ai trouvé aucun côté attachant et j'ai fini par m'ennuyer. Après tout il y a un âge pour tout et sans doute suis-je trop âgée pour apprécier ce genre de romance.
Je n'ai pas davantage été happée par l'écriture, sans relief à mes yeux. Seul le dernier paragraphe m'a quelque peu émue. le mots d'Estelle adressés à Yann Quermeur au bord de sa tombe ont quelque chose de véritablement touchant. Il est le père de sa dernière conquête et… je ne vous en dis pas plus.,
Très respectueuse des auteurs, il m'est toujours difficile d'émettre un avis négatif sur un roman, mais je tiens à rester honnête. Je remercie néanmoins Babelio et la maison d'éditions dont je ne sais trop s'il s'agit d'Harlequin, Harper Collins France ou &H. Et j'espère que ce récit trouvera son lectorat.
