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Quand on a envie ou besoin de lire une romance entre deux lectures plus exigeantes, ouvrir un Christina Lauren est toujours une bonne pioche.
Roomies est un one shot et ne s'intègre dans aucunes des séries New Romance des autrices. le décor est bien entendu New York, plus précisément le secteur de Broadway, où Holland travaille dans un théâtre en périphérie d'une grande comédie musicale dirigée par son oncle. Lors de ses pérégrinations dans le métro, elle a eu un coup de foudre pour un musicien, guitariste précisément, pour qui elle fait parfois des trajets inutiles juste pour l'écouter. Calvin, qu'elle a en secret surnommé Jack, n'est pas conscient de l'attention qu'on lui porte. Quand une place se libère dans la troupe, Holland fait tout pour que Calvin puisse l'intégrer, jusqu'à lui proposer un mariage blanc pour régulariser la situation de cet irlandais sans carte verte...
Bien entendu, tout est cousu de fil blanc et on sait en entamant la lecture comment tout cela va finir. Mais c'est cela que je cherchais, je n'ai pas été déçue. Comme d'habitude, Christina Lauren campent bien leurs personnages, dans une Big Apple qu'elles connaissent comme leur poche.
C'est fluide, la patte humoristique des autrices fait toujours mouche sans étonnement et le roman se lit très vite. Un bon moment romantique, ancré dans notre temps, pour se vider la tête et passer quelques heures en légèreté.
Critique de MaggyM
Quand on a envie ou besoin de lire une romance entre deux lectures plus exigeantes, ouvrir un Christina Lauren est toujours une bonne pioche.
Roomies est un one shot et ne s'intègre dans aucunes des séries New Romance des autrices. le décor est bien entendu New York, plus précisément le secteur de Broadway, où Holland travaille dans un théâtre en périphérie d'une grande comédie musicale dirigée par son oncle. Lors de ses pérégrinations dans le métro, elle a eu un coup de foudre pour un musicien, guitariste précisément, pour qui elle fait parfois des trajets inutiles juste pour l'écouter. Calvin, qu'elle a en secret surnommé Jack, n'est pas conscient de l'attention qu'on lui porte. Quand une place se libère dans la troupe, Holland fait tout pour que Calvin puisse l'intégrer, jusqu'à lui proposer un mariage blanc pour régulariser la situation de cet irlandais sans carte verte...
Bien entendu, tout est cousu de fil blanc et on sait en entamant la lecture comment tout cela va finir. Mais c'est cela que je cherchais, je n'ai pas été déçue. Comme d'habitude, Christina Lauren campent bien leurs personnages, dans une Big Apple qu'elles connaissent comme leur poche.
C'est fluide, la patte humoristique des autrices fait toujours mouche sans étonnement et le roman se lit très vite. Un bon moment romantique, ancré dans notre temps, pour se vider la tête et passer quelques heures en légèreté.
