If you love the fake dating trope, this is the video for you! Join Lisa London as she takes you through 7 fun romance reads featuring this fan-favorite theme.
Lisa London: https://www.youtube.com/channel/UCeiHoQgsXybl4aT7kYq9fdQ
In this video:
THE DATING PLAN by Sara Desai
https://www.goodreads.com/book/show/54326395-the-dating-plan?from_search=true&from_srp=true&qid=¤££¤28HarlequinBooks25¤££¤&rank=1
THE SOULMATE EQUATION by Christina Lauren
https://www.goodreads.com/book/show/55692620-the-soulmate-equation?ac=1&from_search=true&qid=ktZAfzCzor&rank=1
FIRST COMES LIKE by Alisha Rai
https://www.goodreads.com/book/show/53441133-first-comes-like?from_search=true&from_srp=true&qid=Pk1MIIt6id&rank=1
IF YOU LOVE SOMETHING by Jayce Ellis
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369717917_if-you-love-something.html
THE SWEETEST CHARADE by Jadesola James
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369704429_the-sweetest-charade.html
JUST FOR SHOW by Julie Hamilton
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369720221_just-for-show.html
THE PERFECT FAKE DATE by Naima Simone
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369708434_the-perfect-fake-date.html
***
Subscribe for more from Harlequin: https://www.youtube.com/channel/UCxCJKbFiPONVnPv_R6JGDAg?sub_confirmation=1
https://www.harlequin.com
Facebook: https://www.facebook.com/HarlequinBooks
Twitter: https://twitter.com/HarlequinBooks
Instagram: https://www.instagram.com/harlequinbooks/
+ Lire la suite
J'ai l'impression que tu emportes mon chez-moi avec toi quand tu t'en vas.
C’est très aimable à vous de m’offrir du café quand vous en faites, mademoiselle Mills. Mais si j’avais envie de boire de la boue, j’aurais rempli moi-même mon mug de terre dans le jardin en arrivant ce matin.
- Je suis habituée à vos comportements de sale con. Mais Joel est sympa. J'y retourne.
Je mets ma main sur la porte et je m'approche de son visage :
- Je ne crois pas, non.
Mes lèvres frôlent son oreille, elle frémit.
- Vous comprenez, il veut quelque chose qui m’appartient et il ne l'aura pas.
Elle me foudroie du regard :
- Quel âge avez-vous ? Deux ans ? Foutez-moi la paix. Je ne vous appartiens pas.
- Tu le penses peut-être, murmuré-je en l'embrassant le long de son cou. Mais votre corps est d'un autre avis.
Il sourit de telle manière que j'ai peur d'avoir vendu mon âme au diable

Mon père disait toujours : « La meilleure façon d’apprendre un
job, c’est de passer beaucoup de temps à regarder faire les autres. »
« Pour arriver en haut de l’échelle, il faut commencer par le
bas, ajoutait-il. Deviens celle dont le PDG ne pourra plus se
passer. Son bras droit. Fais en sorte de leur plaire, et ils te
mettront le grappin dessus à la seconde même où tu obtiendras
ton diplôme. »
Alors je suis devenue irremplaçable. Et, sans aucun doute,
le bras droit. Mais en l’occurrence, je suis le bras droit qui, la
plupart du temps, doit se retenir de foutre son poing dans la
sale gueule du directeur en question.
Mon boss, M. Bennett Ryan. Beautiful bastard.
J’ai le ventre noué rien qu’en y pensant : grand, beau, le
mal incarné. Le type le plus puant, le plus imbu de lui-même
que j’aie jamais rencontré.
J’ai eu droit à tous les potins des secrétaires au sujet de ses
frasques légendaires. On croit rêver : tout ça juste parce qu’il
est beau gosse ? Mon père disait aussi : « Tu t’apercevras vite
que quand on regarde quelqu’un, on n’en voit que la moitié. »
J’ai eu ma dose de gars insupportables ces dernières années,
j’ai même couché avec quelques-uns d’entre eux entre le lycée
et l’université. Mais celui-ci les surpasse tous – et de loin !
... Mais mon film préféré de tous les temps est Fenêtre sur cour.
- A cause de Jimmy Stewart ou de Grace Kelly? fait-il en m'embrassant dans le cou.
-Les deux. Plutôt Grace Kelly.
-Je vois. Tu as des tendances Grace Kelly...
Sa main remonte dans mes cheveux et replace une mèche qui s'est échappée de ma queue de cheval.
-J'ai entendu dire que Grace Kelly avait une bouche de suceuse, elle aussi.
-Tu l'aimes, ma bouche de suceuse.
-C'est vrai. Je l'aime surtout quand elle est pleine, réplique-t-il d'un air anodin.
-Tu sais, si tu la fermais de temps en temps, tu serais parfait, putain.
-Je serais déchireur de culottes silencieux, ce serait encore pire qu'un patron colérique déchireur de culottes.
- Je suis arrivé ici à quinze ans. Ce qui est, on est d'accord, le pire âge pour passer de la Californie au fin fond de l'Utah ! J'avais un champ de bagues dans la bouches et aucun ami. J'ai de quoi raconter.
Et encore, je zappe que je suis bisexuel a moitié juif dans une ville d'hétérosexuels mormons.
- Il avait l'air de penser qu'on était des trous du cul
- Nous sommes des trous du cul
Il n'a pas tort
Mon père disait aussi : "Tu t'apercevras vite que quand on regarde quelqu'un, on n'en voit que la moitié."

J’étais penchée vers la table, je lui montrais une série de
graphies quand c’est arrivé.
— Leur prévision pour la première étape-clé est un peu
ambi…
Je m’arrête en pleine phrase, le souffle coupé. Sa main appuie
doucement sur le bas de mon dos avant de descendre,
s’immobilisant sur mes fesses. En neuf mois de travail avec
lui, il ne m’a jamais même effleurée – pas volontairement, en
tout cas.
Et là, c’est clairement volontaire.
La chaleur de sa main se déplace sous ma jupe, ma peau
s’électrise. Chaque muscle de mon corps se tend, mon ventre se
liquéfie. Mais qu’est-ce qu’il fout ? Mon cerveau me crie de repousser
cette main, de lui dire de ne plus jamais me toucher,
mais mon corps a une autre idée. Les pointes de mes seins se
dressent, je serre les dents pour toute réponse. Trahison pectorale.
Mon coeur saute dans ma poitrine, une longue minute
passe, ni lui ni moi ne prononçons le moindre mot. Sa main
explore ma cuisse, ses caresses se font plus insistantes. Nos
respirations et le bruit sourd de la ville, en dessous, brisent
seuls le calme de la salle de conférence.
— Retournez-vous, mademoiselle Mills, ordonne-t-il
d’une voix calme.