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Critique de gaelpoezevara
Je termine cette année de lecture avec mon troisième livre de Michez Layaz, Deux Soeurs.
J'y ai retrouvé la plume des deux premiers, plus onirique et plus libre encore. Michel Layaz appartient à cette catégorie rare d'écrivains qui sait transmuter le réel en poésie. Un vrai acte de littérature en somme.
Deux soeurs, un père en hôpital psychiatrique, une mère à New-York, une assistante sociale pas si rigide qu'on l'imagine, un amoureux, un psychiatre poète, voilà pour les personnages d'une histoire puissamment ancrée dans la nature.
Une histoire légère et court vêtue, pourtant lourde de sens, une histoire délicieusement désinhibée, traversée de descriptions rabelaisiennes, de facéties queneauesque, une histoire réellement étrange et follement attachante. On rêverait d'y tenir un rôle, même un tout petit.
Tout au long du livre, je me faisais mon film, à la manière du Jean-Pierre Jeunet de Micmacs à tire-larigot. Et je me demandais comment on termine un récit comme celui-là.
Par un voyage.
Quand on aime, il faut partir.
J'y ai retrouvé la plume des deux premiers, plus onirique et plus libre encore. Michel Layaz appartient à cette catégorie rare d'écrivains qui sait transmuter le réel en poésie. Un vrai acte de littérature en somme.
Deux soeurs, un père en hôpital psychiatrique, une mère à New-York, une assistante sociale pas si rigide qu'on l'imagine, un amoureux, un psychiatre poète, voilà pour les personnages d'une histoire puissamment ancrée dans la nature.
Une histoire légère et court vêtue, pourtant lourde de sens, une histoire délicieusement désinhibée, traversée de descriptions rabelaisiennes, de facéties queneauesque, une histoire réellement étrange et follement attachante. On rêverait d'y tenir un rôle, même un tout petit.
Tout au long du livre, je me faisais mon film, à la manière du Jean-Pierre Jeunet de Micmacs à tire-larigot. Et je me demandais comment on termine un récit comme celui-là.
Par un voyage.
Quand on aime, il faut partir.
