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Critique de Verdorie
C'est toujours avec autant d'enthousiasme que je suis retournée chez Erica et Patrik, dans ce cinquième volume de cette saga policière et familiale.
Mais (!), l'enquête criminelle, étroitement liée au passé de la mère d'Erica pendant la 2e guerre mondiale, à moins suscité mon intérêt que dans les tomes précédents.
À partir du moment où un certain Hans entre dans la « danse », j'ai rapidement deviné qui se cachait derrière ce personnage et comment la vérité cachée autour d'un acte déplorable peut influencer la vie d'autres personnes pendant toute leur existence.
Cela n'a pourtant rien enlevé à mon plaisir de lecture. Si on fait abstraction de mes soupçons (avérés), je dois admettre que Camilla Läckberg sait excellemment maintenir le suspens et tout aussi bien évoquer les relations parents-enfants, fortement présentes dans ce polar (bien que j'ai des sérieux doutes sur les capacités décrites à propos des bébés d'un an).
Le parcours amoureux (voir émouvant... oh !) du commissaire Mellberg, apportant une touche de légèreté dans cette histoire sombre, m'a fait beaucoup sourire et je souhaite -vivement- qu'il puisse (enfin) réussir sa vie affective.
Pour le savoir, je vais évidemment devoir rejoindre ceux que je considère désormais comme des amis... Erica, surprise par une (bonne) surprise, et... Patrik, qui dans ce tome-ci, avait du mal à conjuguer « congé » avec « parental ».
Mais (!), l'enquête criminelle, étroitement liée au passé de la mère d'Erica pendant la 2e guerre mondiale, à moins suscité mon intérêt que dans les tomes précédents.
À partir du moment où un certain Hans entre dans la « danse », j'ai rapidement deviné qui se cachait derrière ce personnage et comment la vérité cachée autour d'un acte déplorable peut influencer la vie d'autres personnes pendant toute leur existence.
Cela n'a pourtant rien enlevé à mon plaisir de lecture. Si on fait abstraction de mes soupçons (avérés), je dois admettre que Camilla Läckberg sait excellemment maintenir le suspens et tout aussi bien évoquer les relations parents-enfants, fortement présentes dans ce polar (bien que j'ai des sérieux doutes sur les capacités décrites à propos des bébés d'un an).
Le parcours amoureux (voir émouvant... oh !) du commissaire Mellberg, apportant une touche de légèreté dans cette histoire sombre, m'a fait beaucoup sourire et je souhaite -vivement- qu'il puisse (enfin) réussir sa vie affective.
Pour le savoir, je vais évidemment devoir rejoindre ceux que je considère désormais comme des amis... Erica, surprise par une (bonne) surprise, et... Patrik, qui dans ce tome-ci, avait du mal à conjuguer « congé » avec « parental ».
