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Critique de Prux
Lire un livre de cette saga, c'est un peu comme faire du vélo, ça ne s'oublie pas, même quand le dernier tome a été clos il y a de longs mois.
Et c'est n'est pas forcément une qualité ...
Les premières pages me rappellent pourquoi je ne m'étais pas directement lancée sur le 9ème tome après le précédent : une fois encore, l'auteure nous rabâche les qualités et les défauts d'Erika, de sa soeur. Elle nous redit pour la énième fois ô combien Patrick et son épouse devraient surveiller leur alimentation, ranger chez eux et être heureux de leur famille; ô combien Anna souffre et vit mille et une difficultés de son côté; ô combien Mallberg est maladroit et balourd...
Bref, une fois de plus on retombe dans les mêmes banalités sur les personnages qui sont redites à chaque tome et cela devient lassant.
Idem sur la structuration de l'intrigue, mais cela me dérange moins car on sait que l'on peut toujours être surpris à la fin.
Une fois de plus, et curieusement, les recherches d'Erika rejoignent l'enquête principale. Cela devient tellement évident que dès le début du livre je commence à chercher le lien éventuel avec les protagonistes présentés et ne suis guère surprise par l'identité du coupable au final.
Par contre, je ne m'attendais pas à une intrigue aussi glauque et dérangeante. Tout au long des pages, on sent le suspens qui monte et poindre la fin sans toutefois s'y résigner tellement cela parait atroce. C'est un des tomes les plus noirs de la saga, à mon sens, et pour le coup, c'était une réelle bonne surprise ! Un peu de renouveau de ce côté n'a pas fait de mal et était le bienvenu.
Malheureusement, je ne sauterai pas directement sur le tome suivant qui serait composé sans étonnement à 15% de redite des tomes précédents.
Et c'est n'est pas forcément une qualité ...
Les premières pages me rappellent pourquoi je ne m'étais pas directement lancée sur le 9ème tome après le précédent : une fois encore, l'auteure nous rabâche les qualités et les défauts d'Erika, de sa soeur. Elle nous redit pour la énième fois ô combien Patrick et son épouse devraient surveiller leur alimentation, ranger chez eux et être heureux de leur famille; ô combien Anna souffre et vit mille et une difficultés de son côté; ô combien Mallberg est maladroit et balourd...
Bref, une fois de plus on retombe dans les mêmes banalités sur les personnages qui sont redites à chaque tome et cela devient lassant.
Idem sur la structuration de l'intrigue, mais cela me dérange moins car on sait que l'on peut toujours être surpris à la fin.
Une fois de plus, et curieusement, les recherches d'Erika rejoignent l'enquête principale. Cela devient tellement évident que dès le début du livre je commence à chercher le lien éventuel avec les protagonistes présentés et ne suis guère surprise par l'identité du coupable au final.
Par contre, je ne m'attendais pas à une intrigue aussi glauque et dérangeante. Tout au long des pages, on sent le suspens qui monte et poindre la fin sans toutefois s'y résigner tellement cela parait atroce. C'est un des tomes les plus noirs de la saga, à mon sens, et pour le coup, c'était une réelle bonne surprise ! Un peu de renouveau de ce côté n'a pas fait de mal et était le bienvenu.
Malheureusement, je ne sauterai pas directement sur le tome suivant qui serait composé sans étonnement à 15% de redite des tomes précédents.
