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Critique de Livresovore
J'ai passé un bon moment mais, ce n'est vraiment pas le meilleur tome de la série.
Si j'ai un problème depuis toujours avec le chef de Patrick, je dois dire que dans ce tome ses remarques sexistes et erreurs qui sabotent l'enquête ne prêtent vraiment plus à sourire. J'avais vraiment espérer le voir partir (et ce depuis longtemps)… Paula, cette enquêtrice que j'aime beaucoup, est un peu trop mise de côté (pour des raisons que j'entends) et sa présence ma manquée. Quand à Martin, que dire ? C'est un personnage qui avait un énorme potentiel et, si j'adhère au choix de « destin » décidé par l'autrice, j'ai trouvé aussi qu'il était très effacé. En revanche, j'ai aimé le chemin que prend Gostä depuis quelques tomes : si je l'associais un peu facilement à Mellberg au départ, il s'est détaché et son personnage est devenu vraiment attachant et nécessaire.
Entre mes enquêteurs partiellement absents et l'enquête qui m'a un peu fait froncer les sourcils, c'est sur les à côtés et la vie personnelle d'Erica et Anna que je me suis rattachée. Je n'ai jamais caché que j'adorais Anna et vu son état dans le tome précédent, c'était peut-être pour elle avant tout que je me lançais dans ce tome. Et j'ai aimé les choix de l'autrice. Erica est toujours Erica, celle sans qui certaines pièces de l'enquête ne pourraient pas s'emboîter. On le lui reproche mais sans elle, soit l'enquête n'avancerait pas, soit elle mettrait bien plus de temps à trouver une issue. Son côté ultra intrusif c'est atténué sur cette enquête ce qui me l'a rendue beaucoup plus sympathique. La mère de Patrick, que j'ai aussi appris à apprécier avec beaucoup de temps, prête beaucoup à sourire et sa présence est rafraîchissante.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Si j'ai un problème depuis toujours avec le chef de Patrick, je dois dire que dans ce tome ses remarques sexistes et erreurs qui sabotent l'enquête ne prêtent vraiment plus à sourire. J'avais vraiment espérer le voir partir (et ce depuis longtemps)… Paula, cette enquêtrice que j'aime beaucoup, est un peu trop mise de côté (pour des raisons que j'entends) et sa présence ma manquée. Quand à Martin, que dire ? C'est un personnage qui avait un énorme potentiel et, si j'adhère au choix de « destin » décidé par l'autrice, j'ai trouvé aussi qu'il était très effacé. En revanche, j'ai aimé le chemin que prend Gostä depuis quelques tomes : si je l'associais un peu facilement à Mellberg au départ, il s'est détaché et son personnage est devenu vraiment attachant et nécessaire.
Entre mes enquêteurs partiellement absents et l'enquête qui m'a un peu fait froncer les sourcils, c'est sur les à côtés et la vie personnelle d'Erica et Anna que je me suis rattachée. Je n'ai jamais caché que j'adorais Anna et vu son état dans le tome précédent, c'était peut-être pour elle avant tout que je me lançais dans ce tome. Et j'ai aimé les choix de l'autrice. Erica est toujours Erica, celle sans qui certaines pièces de l'enquête ne pourraient pas s'emboîter. On le lui reproche mais sans elle, soit l'enquête n'avancerait pas, soit elle mettrait bien plus de temps à trouver une issue. Son côté ultra intrusif c'est atténué sur cette enquête ce qui me l'a rendue beaucoup plus sympathique. La mère de Patrick, que j'ai aussi appris à apprécier avec beaucoup de temps, prête beaucoup à sourire et sa présence est rafraîchissante.
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