D'une manière générale, j'ai la conviction que ceux qui lisent des livres avec une passion maladive deviennent des gens dangereux. Lisant des pages et des pages, ils se voient intelligents. après quoi, ils vivent dans un état de douleur, de solitude et de supériorité que rien ne résorbe.
Je me fous totalement de ce que les idéologies pourraient penser d'un éventuel échec du système financiarisé. D'ailleurs, suis-je de droite ou suis-je de gauche, qu'on me le dise car je n'ai aucun sens de l'orientation.
Tous confirmaient par leur abandon que "les bons moments peuvent aller au coeur en passant par le foie".
New York n'était plus qu'une excentrique convertie aux tièdes, un phare éteint, une cité suicidée, le spectre métallique de ce qu'elle fut plusieurs fois par siècle : un jour l'écoeurante maladie mimétique des hommes gagna son Finistère et la fit vouloir ressembler aux autres.