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Critique de dujardinso
Avec le Veilleur du lac, Nicolas Leclerc signe son quatrième roman et je le trouve très, très réussi !
Le Veilleur du lac est un polar qui s'inscrit dans la ruralité, et c'est un peu la marque de fabrique du jeune auteur pontissalien.
De nos jours, Malmaison-le-lac, 1200 habitants, est un petit village tranquille. Un dimanche matin de la fin août, la famille Parrisot se volatilise, laissant leur maison déserte et leur coffre-fort vide. Très vite, des indices indiquent qu'un affreux massacre a eu lieu, dans leur demeure au bord du lac.
Pendant ce temps, Fanny, la fille aînée des Parrisot, fugue en direction de l'Allemagne, avec Maïa, sa meilleure amie et Idriss, le petit ami de celle-ci.
L'enquête criminelle est confiée au commandant Norah Belloumi, une jeune femme d'origine arabe, tout en contrastes – forte et fragile à la fois, qui se fera seconder par le capitaine Bruno Albertini, « le Veilleur du lac », un quinqua veuf et père d'un adolescent qui a du mal à se remettre d'avoir perdu sa mère.
Nicolas Leclerc est un formidable conteur. Dans ce roman aux allures de fait divers, il nous emmène avec talent dans un polar haletant et sans temps morts.
J'ai été emportée dans cette histoire, littéralement. C'est totalement crédible, c'est brillant, c'est palpitant.
Un seul mot, pour conclure : foncez !
Le Veilleur du lac est un polar qui s'inscrit dans la ruralité, et c'est un peu la marque de fabrique du jeune auteur pontissalien.
De nos jours, Malmaison-le-lac, 1200 habitants, est un petit village tranquille. Un dimanche matin de la fin août, la famille Parrisot se volatilise, laissant leur maison déserte et leur coffre-fort vide. Très vite, des indices indiquent qu'un affreux massacre a eu lieu, dans leur demeure au bord du lac.
Pendant ce temps, Fanny, la fille aînée des Parrisot, fugue en direction de l'Allemagne, avec Maïa, sa meilleure amie et Idriss, le petit ami de celle-ci.
L'enquête criminelle est confiée au commandant Norah Belloumi, une jeune femme d'origine arabe, tout en contrastes – forte et fragile à la fois, qui se fera seconder par le capitaine Bruno Albertini, « le Veilleur du lac », un quinqua veuf et père d'un adolescent qui a du mal à se remettre d'avoir perdu sa mère.
Nicolas Leclerc est un formidable conteur. Dans ce roman aux allures de fait divers, il nous emmène avec talent dans un polar haletant et sans temps morts.
J'ai été emportée dans cette histoire, littéralement. C'est totalement crédible, c'est brillant, c'est palpitant.
Un seul mot, pour conclure : foncez !
