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Critique de Lunalithe
Avis mitigé pour ce roman, que j'ai dans l'ensemble assez bien aimé, mais dont certains défauts m'ont dérangés.
Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé l'ambiance très oppressante de ce roman, dont la superbe couverture illustre parfaitement le contenu. L'histoire est dense et intéressante également, toutefois, je dois reconnaitre qu'il m'a beaucoup fait penser à Mers mortes, d'Aurélie Wellenstein, où l'on retrouve de la même façon des vagues meurtrières et fantômes, ne laissant que les cadavres des mortels sur leurs passages. La façon de faire est différente, mais ces deux livres ont toutefois des points communs, et leurs similarités m'ont gênés.
Il faut admettre que l'histoire est dense, et que pour un premier roman, c'est plutôt ambitieux, et assez bien maitrisé. Toutefois, on retrouve un peu trop souvent les mêmes expressions et beaucoup de répétitions, c'est un peu lassant ("les paillettes dans les yeux", oui, bon, on a compris).
De la même façon, si j'ai beaucoup aimé que notre personnage principal soit handicapé, il y a beaucoup d'insistance sur "se moquer des handicapés, c'est mal", "le handicap, c'est dur", comme si le roman avait une sorte de "quota accessibilité" à remplir. D'autres messages positifs et de tolérance viennent ici et là ajouter un petit plus dans cette histoire, mais toujours avec la délicatesse et la subtilité d'un mammouth, et c'est fort dommage. Saluons toutefois au moins l'effort et la diversité !
J'ai bien apprécié la fin, légèrement douce-amère, et, vraiment, dans l'ensemble, j'ai aimé cette lecture ! Les défauts sont plus lassants que rébarbatifs, même s'ils restent en mémoire lorsqu'on a tourné la dernière page, compensés (mais pas effacés) par les points positifs.
Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé l'ambiance très oppressante de ce roman, dont la superbe couverture illustre parfaitement le contenu. L'histoire est dense et intéressante également, toutefois, je dois reconnaitre qu'il m'a beaucoup fait penser à Mers mortes, d'Aurélie Wellenstein, où l'on retrouve de la même façon des vagues meurtrières et fantômes, ne laissant que les cadavres des mortels sur leurs passages. La façon de faire est différente, mais ces deux livres ont toutefois des points communs, et leurs similarités m'ont gênés.
Il faut admettre que l'histoire est dense, et que pour un premier roman, c'est plutôt ambitieux, et assez bien maitrisé. Toutefois, on retrouve un peu trop souvent les mêmes expressions et beaucoup de répétitions, c'est un peu lassant ("les paillettes dans les yeux", oui, bon, on a compris).
De la même façon, si j'ai beaucoup aimé que notre personnage principal soit handicapé, il y a beaucoup d'insistance sur "se moquer des handicapés, c'est mal", "le handicap, c'est dur", comme si le roman avait une sorte de "quota accessibilité" à remplir. D'autres messages positifs et de tolérance viennent ici et là ajouter un petit plus dans cette histoire, mais toujours avec la délicatesse et la subtilité d'un mammouth, et c'est fort dommage. Saluons toutefois au moins l'effort et la diversité !
J'ai bien apprécié la fin, légèrement douce-amère, et, vraiment, dans l'ensemble, j'ai aimé cette lecture ! Les défauts sont plus lassants que rébarbatifs, même s'ils restent en mémoire lorsqu'on a tourné la dernière page, compensés (mais pas effacés) par les points positifs.
