On pourrait croire que pour un homme entraîné à recevoir, depuis des années, des rafales de lettres de refus de toutes les maisons d'édition de France, l'arrivée d'une lettre de licenciement ferait l'effet d'une chiquenaude ou d'une piqûre de drosophile. Eh bien, pas du tout. Que l'on se détrompe. Le congédiement, surtout lorsqu'il vient par surprise, vous cloue le bec et vous sépare l'estomac en deux parties.