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Critique de Malahide75
Après des milliers d'années d'exil, l'heure est venue pour les Vinéens de la Terre de rejoindre leur planète. Mais dans quel état vont-ils la retrouver ? Pour les aider, Yoko, Vic et Pol prennent également place à bord du vaisseau qui va mes amener près de Vinéa et de ses soleils. Ce qu'ils vont découvrir dépassera toutes leurs espérances.
Yoko Tsuno est ma madeleine à moi, le goût et l'odeur de mon enfance, lorsque je lisais jusqu'à plus d'heures les aventures de ma technicienne préférée, en douce de mes parents, à la torche électrique sous la couverture. Cette histoire surtout, qui revêt pour moi l'image type du dépaysement, de l'aventure, du passage à l'âge adulte, des choix à faire...
Trente ans ont passé depuis ma première lecture de cet opus et le charme agit toujours. Ni Yoko ni le dessin n'ont pris une ride et n'ont besoin de lifting. Les couleurs seraient plus modestes à présent, mais elles ne choquent pas. le propos est toujours d'actualité et mis à part la taille de quelques gadgets que l'avancée technologique a réduit, rien ne semble incohérent. Pour une BD de SF datée de 1978, c'est une gageure tout de même !
Même si je n'ai pas tenu ma promesse de l'époque et n'ai pas pris le chemin, comme je le rêvais, de la NASA, je suis heureuse d'avoir fréquenté quelques temps les bancs de l'Observatoire de Paris !
Yoko power forever ! From space, with love !
Yoko Tsuno est ma madeleine à moi, le goût et l'odeur de mon enfance, lorsque je lisais jusqu'à plus d'heures les aventures de ma technicienne préférée, en douce de mes parents, à la torche électrique sous la couverture. Cette histoire surtout, qui revêt pour moi l'image type du dépaysement, de l'aventure, du passage à l'âge adulte, des choix à faire...
Trente ans ont passé depuis ma première lecture de cet opus et le charme agit toujours. Ni Yoko ni le dessin n'ont pris une ride et n'ont besoin de lifting. Les couleurs seraient plus modestes à présent, mais elles ne choquent pas. le propos est toujours d'actualité et mis à part la taille de quelques gadgets que l'avancée technologique a réduit, rien ne semble incohérent. Pour une BD de SF datée de 1978, c'est une gageure tout de même !
Même si je n'ai pas tenu ma promesse de l'époque et n'ai pas pris le chemin, comme je le rêvais, de la NASA, je suis heureuse d'avoir fréquenté quelques temps les bancs de l'Observatoire de Paris !
Yoko power forever ! From space, with love !
