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Critique de bdelhausse
Sweet Tooth, cela pourrait faire un bon titre pour un film de genre. Un peu comme Deep Throat... Sweet Tooth, mais sans les dents alors... Gros vicelards. Sweet Tooth, pour bouche sucrée... ouais, bon, ça sonne encore un peu cochon.
Sweet Tooth parce qu'il aime les sucreries que son père lui interdisait de manger, Gus, matricule 171, un enfant-animal, belle gueule, élevé dans les bois par son père, des bois de daguet sur le crâne. 9 ans. Et bientôt orphelin de mère et de père. Alors il se trouve un père de substitution. Jepperd. Ancien hockeyer, assez brutal, reconverti en ... en quoi d'ailleurs? En chasseur de primes, en bagarreur de première bourre.
Voilà Gus, naïf, classant le monde en "gentil" et "méchant" qui quitte son bois. Pourtant son père le lui avait bien dit: ne jamais quitter le bois. Et Jepperd, gentil ou méchant? Où conduit-il Gus? A-t-il bien fait de quitter son bois...?
Dans un univers post-apocalyptique, sans zombie, mais avec des enfants-animaux nés après le grand cataclysme, l'essentiel est de survivre le plus longtemps (comme d'hab' quoi!) car de toute façon, quoi que l'on fasse, on est condamné.
C'est sympa, mais... le dessin est chouette, mais... L'histoire est pas mal, mais... Il y a un petit je-ne-sais-quoi de fascinant, mais... Toujours un "mais" pour venir tempérer mon engouement. Un peu comme dans Plutona du même Jeff Lemire. Plein de trucs intéressants, aussitôt contrebalancés par une approximation dans le dessin, des incohérences, du déjà-vu, des rouages assez faciles, etc. Mais on a quand même envie de connaître la suite.
Sweet Tooth parce qu'il aime les sucreries que son père lui interdisait de manger, Gus, matricule 171, un enfant-animal, belle gueule, élevé dans les bois par son père, des bois de daguet sur le crâne. 9 ans. Et bientôt orphelin de mère et de père. Alors il se trouve un père de substitution. Jepperd. Ancien hockeyer, assez brutal, reconverti en ... en quoi d'ailleurs? En chasseur de primes, en bagarreur de première bourre.
Voilà Gus, naïf, classant le monde en "gentil" et "méchant" qui quitte son bois. Pourtant son père le lui avait bien dit: ne jamais quitter le bois. Et Jepperd, gentil ou méchant? Où conduit-il Gus? A-t-il bien fait de quitter son bois...?
Dans un univers post-apocalyptique, sans zombie, mais avec des enfants-animaux nés après le grand cataclysme, l'essentiel est de survivre le plus longtemps (comme d'hab' quoi!) car de toute façon, quoi que l'on fasse, on est condamné.
C'est sympa, mais... le dessin est chouette, mais... L'histoire est pas mal, mais... Il y a un petit je-ne-sais-quoi de fascinant, mais... Toujours un "mais" pour venir tempérer mon engouement. Un peu comme dans Plutona du même Jeff Lemire. Plein de trucs intéressants, aussitôt contrebalancés par une approximation dans le dessin, des incohérences, du déjà-vu, des rouages assez faciles, etc. Mais on a quand même envie de connaître la suite.
