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Critique de jleclercq


Frédéric LenoirLa consolation de l'ange

Un style lénifiant ou prêchi-prêcha, - un apriori sans raison.
Il est sympathique Hugo ,ce garçon qui est castré par l'image de son père, et qui veut s'en libérer en se suicidant. Elle est séduisante la vieille Blanche en fin de vie et qui se présente comme accompagnatrice, mais il y a un son qui sonne faux.
Hugo veut se libérer lui-même, il ne devrait pas avoir besoin d'un gourou, d'un confesseur ou d'un coach pour se réaliser.
Mais pourquoi refuser de l'aide de qui que ce soit si c'est pour aller mieux.
"Plutôt souffrir que mourir
c'est la devise des hommes" (La Fontaine)
Et pourtant c'est bien Blanche qui finit par séduite Hugo et le libérer de ses blocages – l'amour, la tendresse, la bienveillance.
Hugo devait se laisser aimer par une vieille femme en fin de vie.
"Il suffirait de presque rien"
(serge Reggiani)
( JL )
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