Ces gens, écrit l'évêque (Diego de Landa), ... utilisaient certains caractères ou lettres, grâce auxquels ils couchaient sur les pages de leurs livres leur antiques connaissances et leurs sciences (...). Nous découvrîmes une grande quantité de livres composés dans lesdits caractères et, comme ils ne contenaient rien en quoi on ne pût voir superstitions et mensonges du Malin, nous les livrâmes tous à la flamme purificatrice. (page 126)