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Critique de Eurisko
Il y avait si longtemps que j'avais entendu parler de ce fameux Fantôme de l'opéra que je m'en étais fait une idée quelque peu idéalisée. Il était tellement mythique, ce légendaire spectre, que je l'avais imaginé romantique, bienveillant et sociable.
Eh ben non, pas du tout, c'est un fantôme pervers et gratuitement cruel que j'ai découvert dans le livre de Gaston Leroux. le style a un peu vieilli, certes, mais ça n'est pas le plus grave. j'ai trouvé l'ensemble invraisemblable et quelque peu ridicule.
L'histoire d'amour était inutilement frustrante, pour se terminer d'une manière quelque peu rapide à la fin de l'ouvrage. Tout est à l'avenant. La construction du livre est bancale et déséquilibrée.
En clair, il m'a fallu faire un effort pour parvenir à terminer la lecture et je me suis ennuyée tout du long. A l'avenir, je verrai l'opéra Garnier sans imaginer son légendaire fantôme.
Eh ben non, pas du tout, c'est un fantôme pervers et gratuitement cruel que j'ai découvert dans le livre de Gaston Leroux. le style a un peu vieilli, certes, mais ça n'est pas le plus grave. j'ai trouvé l'ensemble invraisemblable et quelque peu ridicule.
L'histoire d'amour était inutilement frustrante, pour se terminer d'une manière quelque peu rapide à la fin de l'ouvrage. Tout est à l'avenant. La construction du livre est bancale et déséquilibrée.
En clair, il m'a fallu faire un effort pour parvenir à terminer la lecture et je me suis ennuyée tout du long. A l'avenir, je verrai l'opéra Garnier sans imaginer son légendaire fantôme.
