Le roman de
Celia Levi promettait d'être une satire sociale. A la lecture du quatrième de couverture, je m'attendais à au moins quelques rebondissements quant à l'attitude des personnages qui baignaient dans l'univers de
la Tannerie, qui, loin d'être bienveillant, se révélait être un véritable panier de crabes. L'idée était bonne.
Malheureusement, un style d'écriture lourd et pénible, des descriptions interminables et confuses, des personnages ectoplasmiques, et une platitude de l'intrigue ont eu raison de mon enthousiasme du départ. Lasse de piquer du nez, et sur le point de capituler, je me suis résignée à une lecture en diagonale, pressée d'en finir.
Grosse déception !
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