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Critique de thalou58
Thomas est pianiste, virtuose…mais sa vie sentimentale est un désastre. Un soir, il trouve par hasard chez sa mère un joint…Il en prend quelques bouffées…et le fantôme de son père lui apparaît. Hallucination ? Réalité ? Thomas refuse d'y croire, surtout que ce fantôme a besoin de lui pour une mission très spéciale…
L'histoire aurait pu être poétique avec l'idée de choisir son éternité et de vaincre la mort. Elle aurait pu être poignante, avec les retrouvailles d'un père et de son fils. Elle aurait pu être…Mais rien de tout cela ! Il y a beaucoup de scènes répétitives (Thomas est pris pour un fou quand il parle avec son père, puisque le fantôme n'est visible que de lui seul ; Thomas donne l'impression de regarder une jolie femme avec insistance, alors qu'il dévisage le fantôme qui est à côté…) et dès le début le lecteur se doute de ce qui va se passer. Les dialogues sont plats, avec de pauvres plaisanteries : Thomas parle de faire appel à Uber pour se déplacer, le fantôme pense qu'il a un chauffeur prénommé Hubert…Le vocabulaire est souvent familier, le style n'est pas travaillé : « pourquoi s'enquiquiner… » / « toubib »/ …C'est une succession de platitudes : « Nous nous retrouverons dans ta musique. Un jour, tu joueras pour une femme et c'est à elle que tu demanderas conseil, et puis viendra le temps où tu joueras pour tes enfants. C'est la vie… », explique le fantôme.
Aucune émotion donc et c'est avec déception que j'ai refermé ce livre.
L'histoire aurait pu être poétique avec l'idée de choisir son éternité et de vaincre la mort. Elle aurait pu être poignante, avec les retrouvailles d'un père et de son fils. Elle aurait pu être…Mais rien de tout cela ! Il y a beaucoup de scènes répétitives (Thomas est pris pour un fou quand il parle avec son père, puisque le fantôme n'est visible que de lui seul ; Thomas donne l'impression de regarder une jolie femme avec insistance, alors qu'il dévisage le fantôme qui est à côté…) et dès le début le lecteur se doute de ce qui va se passer. Les dialogues sont plats, avec de pauvres plaisanteries : Thomas parle de faire appel à Uber pour se déplacer, le fantôme pense qu'il a un chauffeur prénommé Hubert…Le vocabulaire est souvent familier, le style n'est pas travaillé : « pourquoi s'enquiquiner… » / « toubib »/ …C'est une succession de platitudes : « Nous nous retrouverons dans ta musique. Un jour, tu joueras pour une femme et c'est à elle que tu demanderas conseil, et puis viendra le temps où tu joueras pour tes enfants. C'est la vie… », explique le fantôme.
Aucune émotion donc et c'est avec déception que j'ai refermé ce livre.
