Guimauvée à la façon d'une "love story " chez les neuropsychologues, la première partie installe l'histoire sans que l'on puisse hypothéquer la suite. Il faut alors faire confiance à Lévy pour penser que l'on ne va pas en rester là.
Et alors..., en deuxième partie, tout bascule et toutes les réserves accumulées s'effondrent.
Marc réussit alors et encore la prouesse de nous coller à notre siège pour finir ce conte de fée de la belle au bois dormant des temps modernes.
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