Les coups n'ont ni minutes, ni secondes, ni passé, ni futur, ils sont la puissance du présent, ils n'ont pas de mémoire. Tout ce que possède encore cet enfant, là, c'est le pressentiment, l'attente affreuse du coup suivant.
L'agonie fut aérienne, au-delà de toute cruauté, et mortelle.