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Critique de Minette29


Un matin d'été ordinaire, trois bombes explosent dans une haute tour du quartier de la Défense. Toutes les personnes qui étaient entrées dans le gratte-ciel périssent dans l'effondrement. Toutes, sauf une.
Vigo Ravel, quelques minutes avant l'attentat, a entendu des voix dans sa tête qui lui ordonnaient de fuir. Et il a survécu. Il comprends alors qu'il détient un secret qui pourrait changer la face du monde. Encore faut-il en comprendre l'origine. Qui sont ces hommes qui le traquent ? Quelle énigme se cache derrière le Protocole 88 ?

Un Loevenbruck décevant ... malgré une documentation toujours aussi fouillée.
L'histoire est très longue et très lente à se mettre en place, surtout si dès les premières lignes vous vous doutez des tenants et des aboutissants.
À partir de là, les explications sur la schizophrénie et le syndrome de Copernic semblent interminables, ainsi que la lecture des carnets de moleskine qui sont une sorte de fil conducteur.
Il y a une dizaine d'années entre Nous rêvions juste de liberté et le syndrome Copernic et ça se sent, même si nous sommes ici dans deux styles diamétralement opposés. L'auteur a depuis peaufiné son écriture et a trouvé son style. Il est donc difficile d'être objectif sur ce livre tant l'ombre de Nous rêvions juste de liberté est tenace. Après L'apothicaire ou encore J'irai tuer pour vous, ici il y a un goût de trop peu.

Dans les romans de Loevenbruck, ce n'est pas celui que je conseillerai.
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