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Critique de Romileon
« Nous avions à peine vingt ans et nous rêvions juste de liberté »….
Cette liberté, Hugo, alias Bohem et ses amis, ses frères choisis, Freddy, Oscar et Alex vont la trouver grâce à la moto. Puissance des moteurs qui vrombissent, beauté des engins, ivresse de la vitesse, splendeur des paysages qui défilent à toute allure …
Quitter la petite ville de Providence, la petite vie étriquée de Providence.. Providence, frappée de sinistrose qui n'a rien à leur offrir si ce n'est le rejet des braves gens, symbole même de la société qui les rejette et qu'ils rejettent à leur tour.
Prendre la route et au fil des kilomètres, au gré des rencontres, découvrir l'univers de MC, Motorcycle Club, leurs règles, leurs valeurs et se les approprier. LH&R : Loyauté, Honneur et Respect. Mesurer son courage et sa force en se bastonnant avec d'autres, picoler jusqu'à plus soif, fumer des clops, des joints, aimer des filles, se frotter à la vie en toute insouciance… Jusqu'à ce que ça coince.
Il y a un arrière-goût de Easy rider dans ce roman. J'ai visualisé les grands espaces américains tout au long de ma lecture, j'ai entendu en fond sonore entre deux « potato, potato » la musique rock d'Easy Rider, j'ai vu Bohem et Oscar faire les cons sur leur moto comme Peter Fonda et Dennis Hopper sur la leur.
Qu'ils sont attachants ces vauriens, ces mauvais garçons. Que Bohem est touchant avec son idéal d'amitié à la vie à la mort… Quel hymne à la liberté !
Un seul bémol pour que ce soit absolument un coup de coeur : le langage « parlé » adopté pour la narration. Etait-ce absolument nécessaire ?
Il n'empêche que je ne suis pas prête à oublier Bohem et ses potes…
Cette liberté, Hugo, alias Bohem et ses amis, ses frères choisis, Freddy, Oscar et Alex vont la trouver grâce à la moto. Puissance des moteurs qui vrombissent, beauté des engins, ivresse de la vitesse, splendeur des paysages qui défilent à toute allure …
Quitter la petite ville de Providence, la petite vie étriquée de Providence.. Providence, frappée de sinistrose qui n'a rien à leur offrir si ce n'est le rejet des braves gens, symbole même de la société qui les rejette et qu'ils rejettent à leur tour.
Prendre la route et au fil des kilomètres, au gré des rencontres, découvrir l'univers de MC, Motorcycle Club, leurs règles, leurs valeurs et se les approprier. LH&R : Loyauté, Honneur et Respect. Mesurer son courage et sa force en se bastonnant avec d'autres, picoler jusqu'à plus soif, fumer des clops, des joints, aimer des filles, se frotter à la vie en toute insouciance… Jusqu'à ce que ça coince.
Il y a un arrière-goût de Easy rider dans ce roman. J'ai visualisé les grands espaces américains tout au long de ma lecture, j'ai entendu en fond sonore entre deux « potato, potato » la musique rock d'Easy Rider, j'ai vu Bohem et Oscar faire les cons sur leur moto comme Peter Fonda et Dennis Hopper sur la leur.
Qu'ils sont attachants ces vauriens, ces mauvais garçons. Que Bohem est touchant avec son idéal d'amitié à la vie à la mort… Quel hymne à la liberté !
Un seul bémol pour que ce soit absolument un coup de coeur : le langage « parlé » adopté pour la narration. Etait-ce absolument nécessaire ?
Il n'empêche que je ne suis pas prête à oublier Bohem et ses potes…
