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Critique de gayane
Lisandrina, jeune corse exilée aux Etats unis n'aurait jamais pensé que sa vie basculerait à ce point. Que Karen et Moke se mettent ensemble : ok. Qu'elle aime son job de guide : ok. Mais qu'elle se réveille nue dans le lit de Hace O'Keefe, son idole, y'a pas moyen ! Et qu'en plus de ça, ils sont mariés, c'est tout bonnement impossible.
Cependant il faut bien qu'elle se fasse à l'idée, la soirée précédente a été mouvementée et elle se retrouve maintenant en danger dans l'univers du chanteur.
On va d'abord commencer avec les remerciements d'usage à Babelio et aux éditions Addictives pour cette découverte. Dans l'ensemble, j'ai passé de bons moments de lecture.
Le personnage de Lisandrina est intéressant en soit. Plutôt mignonne, elle a aussi un fort caractère. Donc j'aime bien. J'ai surtout beaucoup aimé le personnage de Hace ainsi que son entourage.
Enfin, l'histoire est plutôt intriguante et donc accroche pas trop mal le lecteur.
Je n'ai cependant pas pu m'empêcher de faire quelques rapprochements avec Cinquante nuances de Grey .... bien heureusement, relativement lointains. Une beau ténébreux, mystérieux, autoriatire et surtout riche. Face à une femme un peu naïve, intimidée et des scènes de sexe bien présentes. Encore heureusement, la comparaîson s'arrête là, ne serait-ce que pour le style d'écriture et le caractèredes personnages. C'est plutôt cohérent. le style est agréable même si je pense que l'auteure aurait pû avoir la main plus légère sur son amour pour la Corse et les hésitations de Lisandrina.
De même, les adjectifs étaient parfois redondants voir carrément kitchouilles par moment. Enfin bon, ça s'est quand même bien laissé lire. Et sauf erreur de ma part, c'est le premier roman de l'auteure. Et ça ce sens je pense qu'avec de la pratique, Ella Lores va pouvoir acquérir plus d'efficacité dans son écriture. du moins je l'espère car j'en arrive au point négatif de cette lecture pourtant positive dans l'ensemble : c'est trop long et le rythme.... manque de rythme.
A la limite un dyptique aurait fait l'affaire pour dynamiser le récit. En oneshot, le lecteur s'essoufle. Les redondances sont agaçantes. le rythme est trop faible donnant l'impression de tourner en rond, tout comme les pensées de Lisandrina. La forme en dyptique aurait forcé une rythmique plus soutenue et la redondance serait passée plus facilement.
De même et de manière un peu contradictoire, je trouve que ça va troo vite par certains aspects. L'enquête ne cert pas à grand chose et tout se fait presque facilement. L'atmosphère s'en trouve du coup dilué à certains moments. En cela, je pense que l'auteure n'a pas forcément fait les meilleurs choix dans les scènes à faire apparaître dans le récit, d'où un manque d'efficacité.
Bref il y a des lacunes mais cela reste une bonne lecture tout de même puisque je me suis attaché à certains personnages et que toute la première partie du récit m'a quand même un minimum accroché.
(Plus difficile pour la seconde partie.)
Cependant il faut bien qu'elle se fasse à l'idée, la soirée précédente a été mouvementée et elle se retrouve maintenant en danger dans l'univers du chanteur.
On va d'abord commencer avec les remerciements d'usage à Babelio et aux éditions Addictives pour cette découverte. Dans l'ensemble, j'ai passé de bons moments de lecture.
Le personnage de Lisandrina est intéressant en soit. Plutôt mignonne, elle a aussi un fort caractère. Donc j'aime bien. J'ai surtout beaucoup aimé le personnage de Hace ainsi que son entourage.
Enfin, l'histoire est plutôt intriguante et donc accroche pas trop mal le lecteur.
Je n'ai cependant pas pu m'empêcher de faire quelques rapprochements avec Cinquante nuances de Grey .... bien heureusement, relativement lointains. Une beau ténébreux, mystérieux, autoriatire et surtout riche. Face à une femme un peu naïve, intimidée et des scènes de sexe bien présentes. Encore heureusement, la comparaîson s'arrête là, ne serait-ce que pour le style d'écriture et le caractèredes personnages. C'est plutôt cohérent. le style est agréable même si je pense que l'auteure aurait pû avoir la main plus légère sur son amour pour la Corse et les hésitations de Lisandrina.
De même, les adjectifs étaient parfois redondants voir carrément kitchouilles par moment. Enfin bon, ça s'est quand même bien laissé lire. Et sauf erreur de ma part, c'est le premier roman de l'auteure. Et ça ce sens je pense qu'avec de la pratique, Ella Lores va pouvoir acquérir plus d'efficacité dans son écriture. du moins je l'espère car j'en arrive au point négatif de cette lecture pourtant positive dans l'ensemble : c'est trop long et le rythme.... manque de rythme.
A la limite un dyptique aurait fait l'affaire pour dynamiser le récit. En oneshot, le lecteur s'essoufle. Les redondances sont agaçantes. le rythme est trop faible donnant l'impression de tourner en rond, tout comme les pensées de Lisandrina. La forme en dyptique aurait forcé une rythmique plus soutenue et la redondance serait passée plus facilement.
De même et de manière un peu contradictoire, je trouve que ça va troo vite par certains aspects. L'enquête ne cert pas à grand chose et tout se fait presque facilement. L'atmosphère s'en trouve du coup dilué à certains moments. En cela, je pense que l'auteure n'a pas forcément fait les meilleurs choix dans les scènes à faire apparaître dans le récit, d'où un manque d'efficacité.
Bref il y a des lacunes mais cela reste une bonne lecture tout de même puisque je me suis attaché à certains personnages et que toute la première partie du récit m'a quand même un minimum accroché.
(Plus difficile pour la seconde partie.)
