Citations sur Médicis, tome 1 : Cosme l'Ancien : De la boue au marbre (25)
Les peuples ont la volonté d'être esclaves mais détestent qu'on le leur fasse savoir...
- Serviteur : Cosme, un homme du pape voudrait vous voir. Il dit être en mission secrète et veut vous parler.
- Cosme : Qu’il entre.
- Homme : Grand Cosme, pardon de vous déranger alors qu’on vous dit mourant mais ma mission ne pouvait attendre… [Il sort un poignard] …car les despotes doivent mourir… [Il poignarde Cosme] … assassinés !
- Brunelleschi : Mais parle-moi de toi. Tu m’écoutes comme souvent et nous ne nous intéressons jamais à toi.
- Cosme : Je vais devoir me marier…
[Un ange passe…]
- Brunelleschi : Ah… Parlons plutôt architecture.
Seul les conquérants marquent l'histoire en laissant derrière eux des veuves et des orphelins.
N'oubliez jamais que tous les peuples ont la volonté d'être esclaves mais détestent qu'on le leur fasse savoir.
[Cosme] Notre cité deviendrait un phare qui illumine le monde et nous, Médicis, en serions la lumière au sommet.
- Oublie mes paroles, elles sont irresponsables. La lecture de la vie d'Alexandre le Grand me fait toujours divaguer.
- Tant que tu ne te compares pas à lui.
- Il est mort jeune et trahi. Je veux mourir vieux et entouré.
-Mère dit souvent que quand elle a rencontré notre père, il avait le cœur chaud... Aujourd'hui, seules ses paroles publiques le sont.
-C'était un idéaliste autrefois. Mais les années ont alourdi la cape qu'il porte. L'ambition est plus lourde que l'or.
Les champs de bataille sont le domaine des imbéciles.
-Je demanderais bien à Donatello de nous sculpter un de ces merveilleux corps qui ont le don d'hypnotiser qui les regarde.
-Donatello... On le dit fou.
-Ce que les gens prennent pour de la folie n'est que sensibilité et perfectionnisme.