Je sors de ma lecture avec une drôle d'impression : l'auteur m'a baladée parmi les meandres de l'âme humaine mais peut-être un peu trop.
De plus moi qui ne suis pas friande du récit d'atrocités, j'ai été servie : que de passage j'ai choisi de ne pas lire. Et pourtant, je lis « le silence des agneaux » d'une seule traite. Il manque peut-être quelque chose aux refuges
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