Allons!
Je ne couperai pas à la relecture de ce livre qui sut m'hypnotiser voici quelque quarante ans... peut-être avec la nouvelle traduction Sous le volcan.
Je n'ai gouté au mescal que quelque temps après
Au-dessous du volcan, et j'y ai retrouvé la saveur du chef-d'oeuvre de
Malcolm Lowry. le mescal, pas la tequila.... La tequila n'ayant pas ce "bouquet" particulier de terre, de fumée et de mort.
L'alcool et une déchéance aussi continue que flamboyante accompagnera le consul ("completamenta borracho") jusqu'à une fin de gueux, misérable.
La lumière est crue et la nuit chaude, oppressante comme la prose de l'auteur habité par ses personnages...marionnettes hantées par leurs démons et leurs souvenirs prégnants.
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