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Citations sur Un papillon dans la tempête (36)

Mourir c'est compter indéfiniment
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- Vous n'aviez pas l'air d'aller bien, tout à l'heure
- C'est une longue histoire, répondit Paul.
Elle hocha la tête.
"C'est souvent le cas".
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Elle participait à ce gala, car elle adorait ce sport de combat. Outre le journalisme, son plus grand centre d’intérêt dans la vie était le Pencak Silat. Ce noble art martial venu de l’archipel Indien. Son père le lui avait enseigné et, rien que pour cette raison, elle continuerait toujours à le pratiquer. C’était une alliance à vie. Mais aussi un art de vivre. Une évolution perpétuelle, mentale et spirituelle, véhiculant une intention positive et des valeurs humaines.
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Dans sa course folle, il ne sentit pas la douleur lorsqu’une boucle d’oreille s’accrocha à une branche et fut arrachée de son lobe. L’euphorie de son évasion le rendait insensible à la souffrance, lui donnait de la force, lui donnait de la vitesse.
Il était entièrement focalisé sur sa course, de manière presque animale. Chaque respiration, chaque battement de cœur, chaque mouvement orchestrait sa fuite. La direction de sa course n’avait aucune importance. Courir, c’était tout ce qui importait. Aussi longtemps, aussi vite et aussi loin que possible.
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Il était déjà tombé deux fois en filant entre les arbres à toute allure. Il faisait nuit. Il avait perdu ses babouches et continuait à courir pieds nus. Les branches cassées luis entaillaient les pieds, mais c’est tout juste s’il ressentait la douleur. Ses orteils butaient contre les racines des arbres, mais cela ne l’arrêtait pas non plus. Jamais il n’avait couru aussi vite. » p 13 (Incipit)
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Bien qu’il n’y eût qu’une très fine couche de tissu entre elle et le monde extérieur, elle s’était entourée d’une carapace imaginaire. Une cotte de ailles invisible, mais impénétrable. » p 15 a - 8
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Il faut ressentir la peur pour pouvoir la traverser. » p 17 a 20
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La plupart du temps, elle avait un désir ardent de vivre le plus intensément possible, en suivant surtout son instinct et ses pulsions primaires. Mais quand elle leur obéissait, la peur de s’y perdre complètement, roulant telle une balle sans volonté dans une vie de débauche, apparaissant aussitôt. » p 61 a – 2
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Comme un début et une fin vont ensemble, les deux hommes semblaient également faire la paire : l’inspecteur le plus âgé symbolisant sans doute la fin et son collègue Joshua, le début. Et, ainsi que cela se passe depuis la nuit des temps, dans ce cas aussi la force négative essayait de dominer la force positive. » p 63 a – 11
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Les fins heureuses n’existent que dans les contes de fées. Et les contes de fées ne pouvaient exister que dans l’ombre de la mort. » p 66 a – 3
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