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Critique de llyza
J'ai vu de bons avis passé sur Lecture Mania, alors je me suis penchée sur cette lecture sur les Loups Garous. J'en suis très friande, je partais confiante. Je n'aurais pas dû.
J'ai lu, j'ai terminé et ça se lit "facilement". Mais. Il y a tellement de mais, de trucs horripilants que j'ai râlé a peu près toutes les 10 pages. C'est très faiblard et scolaire, certaines choses bien retravaillées auraient donné une autre dimension et surtout un texte de qualité.
On commence par l'aspect technique, il y a eu un couac à la relecture ou au niveau du travail de réécriture. Il y a des coquilles, et pourtant je ne suis pas une grammarnazi, donc si -moi- je les vois, c'est qu'il y a vraiment un souci. du style "Etre mettre de soi", "prendre soit de moi"... mais passons. Depuis quand, ne respecte-t-on pas la ponctuation dans un roman ? C'est aussi essentiel que les mots que l'on choisit. C'est juste irrecevable et injustifiable à mes yeux de laisser des doubles points d'exclamation, des triples points interrogation, des onomatopée excentriques comme si on était sur wattpad, facebook ou sur son tel. C'est quoi ce bordel ? T'es pas en train de me parler sur ton smartphone, tu m'as écrit un livre, une histoire. C'est censé être un roman. Donc, la ME faite quelque chose, c'est de votre responsabilité, même pas de l'auteur pour cette partie.
L'autre partie, c'est le contenu et là par contre, c'est l'auteur que je voulais fouetter. Par où commencer... L'idée est bonne et même certains passages sont vraiment bien écrits, on entre dans les pensées de Julis ou de l'autre trouduc et il y a du potentiel. Mais. Je vous ai dit qu'il y avait tellement de mais.
On a une base foireuse avec ce début d'histoire où le personnage masculin se prend pour un Alpha. Je rappelle la définition : première lettre de l'alphabet. On s'attend alors à ce qu'un Alpha soit en première ligne de mire pour protéger sa meute, défendre les Etres les plus faibles et faire ce qu'il y a de mieux pour eux. C'est ce qui est considéré chez le loup, c'est le rôle du couple Alpha. Quelle surprise alors de voir un psychopathe, et il le dit lui-même, annoncer fièrement qu'il aime terrifier, faire pleurer les filles faibles (parce qu'évidemment, les plus faibles, en premier, c'est les filles). Déjà là, j'avais envie de tout péter. Mais ce n'est pas finit.
Au début, je me suis même demandée, si on allait tomber sur une darkKK (dark romance)... je penche pour de la maladresse de la part de l'autrice. Elle souhaite mettre en place ce fameux ennemies-to-lovers comme on dit chez nos amis anglos-saxons, elle nous colle des dialogues avec ce genre de joutes verbales. Malheureusement pour moi, j'ai trouvé ça très (très) gamin. J'ai pas accroché, c'était trop immature, alors ils ont 18 ans, mais est-ce que j'étais aussi teubé à cet âge-là ? Les dialogues sonnent faux.
La nana pleurniche à tout va parce qu'elle a peur et devient badass du jour au lendemain, le trouduc devient amoureux, on ne sait pas pourquoi. Qu'est-ce qu'il lui trouve, il a peut-être vu en elle un potentiel psychopathe ? L'action est bonne et bien trouvée mais. Encore un mais. Est-ce qu'on est obligé d'avoir une autre nana, d'en faire une salope, pour valoriser son héroïne ? Est-ce qu'on peut aussi arrêter d'insulter une nana parce qu'elle "écarte les cuisses" ? L'héroïne était peut-être vierge mais elle a été plutôt facile à dépuceler. Ce rapport là, est vraiment pénible à lire à force dans la romance.
S'il vous plait, vous êtes auteur, vous transmettez forcément un message, vos idées. Vous pouvez vous cacher derrière des histoires fantastiques, ça n'enlève en rien, le poids des mots ou des actes. L'impact sur l'inconscient du lecteur et surtout des plus jeunes. Qu'est-ce que l'auteur souhaite transmettre avec tout ça ? Quelle est la morale ? Quelles sont les valeurs qui ressortent de ce texte ? Quand l'auteur en prend conscience, son texte fait un level up hallucinant.
Ici, on tue sans morale. On insulte sans poids. On crie et on agresse parce qu'un autre s'approche de son partenaire. On menace de tuer à tout champs sans aucun état d'âme. On se justifie en se disant parce que c'est comme ça chez les métamorphes. C'est exagéré et peu réaliste il n'y a aucune demi-mesure. Ça ne rend pas le mâle Alpha, et ça ne rend pas l'héroïne badass. Ce texte m'a manqué d'âme, il m'a manqué du crescendo dans la relation, de la maturité dans les dialogues, des personnages secondaires plus présents et moins faire-valoirs.
J'ai lu, j'ai terminé et ça se lit "facilement". Mais. Il y a tellement de mais, de trucs horripilants que j'ai râlé a peu près toutes les 10 pages. C'est très faiblard et scolaire, certaines choses bien retravaillées auraient donné une autre dimension et surtout un texte de qualité.
On commence par l'aspect technique, il y a eu un couac à la relecture ou au niveau du travail de réécriture. Il y a des coquilles, et pourtant je ne suis pas une grammarnazi, donc si -moi- je les vois, c'est qu'il y a vraiment un souci. du style "Etre mettre de soi", "prendre soit de moi"... mais passons. Depuis quand, ne respecte-t-on pas la ponctuation dans un roman ? C'est aussi essentiel que les mots que l'on choisit. C'est juste irrecevable et injustifiable à mes yeux de laisser des doubles points d'exclamation, des triples points interrogation, des onomatopée excentriques comme si on était sur wattpad, facebook ou sur son tel. C'est quoi ce bordel ? T'es pas en train de me parler sur ton smartphone, tu m'as écrit un livre, une histoire. C'est censé être un roman. Donc, la ME faite quelque chose, c'est de votre responsabilité, même pas de l'auteur pour cette partie.
L'autre partie, c'est le contenu et là par contre, c'est l'auteur que je voulais fouetter. Par où commencer... L'idée est bonne et même certains passages sont vraiment bien écrits, on entre dans les pensées de Julis ou de l'autre trouduc et il y a du potentiel. Mais. Je vous ai dit qu'il y avait tellement de mais.
On a une base foireuse avec ce début d'histoire où le personnage masculin se prend pour un Alpha. Je rappelle la définition : première lettre de l'alphabet. On s'attend alors à ce qu'un Alpha soit en première ligne de mire pour protéger sa meute, défendre les Etres les plus faibles et faire ce qu'il y a de mieux pour eux. C'est ce qui est considéré chez le loup, c'est le rôle du couple Alpha. Quelle surprise alors de voir un psychopathe, et il le dit lui-même, annoncer fièrement qu'il aime terrifier, faire pleurer les filles faibles (parce qu'évidemment, les plus faibles, en premier, c'est les filles). Déjà là, j'avais envie de tout péter. Mais ce n'est pas finit.
Au début, je me suis même demandée, si on allait tomber sur une darkKK (dark romance)... je penche pour de la maladresse de la part de l'autrice. Elle souhaite mettre en place ce fameux ennemies-to-lovers comme on dit chez nos amis anglos-saxons, elle nous colle des dialogues avec ce genre de joutes verbales. Malheureusement pour moi, j'ai trouvé ça très (très) gamin. J'ai pas accroché, c'était trop immature, alors ils ont 18 ans, mais est-ce que j'étais aussi teubé à cet âge-là ? Les dialogues sonnent faux.
La nana pleurniche à tout va parce qu'elle a peur et devient badass du jour au lendemain, le trouduc devient amoureux, on ne sait pas pourquoi. Qu'est-ce qu'il lui trouve, il a peut-être vu en elle un potentiel psychopathe ? L'action est bonne et bien trouvée mais. Encore un mais. Est-ce qu'on est obligé d'avoir une autre nana, d'en faire une salope, pour valoriser son héroïne ? Est-ce qu'on peut aussi arrêter d'insulter une nana parce qu'elle "écarte les cuisses" ? L'héroïne était peut-être vierge mais elle a été plutôt facile à dépuceler. Ce rapport là, est vraiment pénible à lire à force dans la romance.
S'il vous plait, vous êtes auteur, vous transmettez forcément un message, vos idées. Vous pouvez vous cacher derrière des histoires fantastiques, ça n'enlève en rien, le poids des mots ou des actes. L'impact sur l'inconscient du lecteur et surtout des plus jeunes. Qu'est-ce que l'auteur souhaite transmettre avec tout ça ? Quelle est la morale ? Quelles sont les valeurs qui ressortent de ce texte ? Quand l'auteur en prend conscience, son texte fait un level up hallucinant.
Ici, on tue sans morale. On insulte sans poids. On crie et on agresse parce qu'un autre s'approche de son partenaire. On menace de tuer à tout champs sans aucun état d'âme. On se justifie en se disant parce que c'est comme ça chez les métamorphes. C'est exagéré et peu réaliste il n'y a aucune demi-mesure. Ça ne rend pas le mâle Alpha, et ça ne rend pas l'héroïne badass. Ce texte m'a manqué d'âme, il m'a manqué du crescendo dans la relation, de la maturité dans les dialogues, des personnages secondaires plus présents et moins faire-valoirs.
