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Critique de Rivia56
Je me suis régalée avec ce 6e épisode autant qu'avec les autres ! Il est aussi soigné et bichonné que les précédents… Je l'ai lu deux fois de suite et j'ai beaucoup ri !
Le texte est vraiment soigné et, quant aux dessins, Les vieux fourneaux illustrent à merveille l'expression : « Un petit dessin vaut mieux qu'un long discours. » En relisant cet album, je trouve les dessins particulièrement expressifs concernant les décors et les personnages, les visages et les ressentis, sans oublier l'humour. C'est aussi parlant que plusieurs pages de texte dans un roman.
Remarque : contrairement à d'autres BD que l'on peut lire dans n'importe quel ordre, il me semble important pour en profiter pleinement de lire cette série dans l'ordre !
Maintenant, nous en savons beaucoup sur les personnages, leur tempérament, leurs points forts, leur passé et leurs relations entre eux. Nous savons par exemple qu'Émile a passé l'essentiel de sa vie sur un voilier et en Océanie, très proche des peuples autochtones dont il parle plusieurs langues et arbore de nombreux tatouages, sans oublier ses prouesses au rugby, les bagarres et la pêche au trésor. Je savais qu'un jour ou l'autre, on allait reparler de ce trésor, évoqué depuis le premier épisode et enterré dans un petit bois du Tarn-et-Garonne. Cet épisode en apporte le dénouement.
Nous avons appris qu'Émile aime préparer ses coups en secret, comme quand il écrit et crée avec Sophie le spectacle sur l'île de Nauru. Pierre le rappelle à l'aéroport : « Il fait chier, Mimile, avec ses surprises ! » En effet, Émile a mis au point avec Errol une belle aventure, et combiné avec Sophie un spectacle en costumes d'époque. Mais l'essentiel de son projet en Guyane n'est pas le spectacle de Sophie. Et à la fin, Pierre ne râle plus, comme à chaque fois que Mimile dévoile enfin son projet. Même Pierre est content d'avoir participé à cette aventure dans la jungle, pour une bonne cause, et l'histoire se termine avec encore des ouvertures pour de prochains épisodes.
Chouette, vivement le prochain !
Le texte est vraiment soigné et, quant aux dessins, Les vieux fourneaux illustrent à merveille l'expression : « Un petit dessin vaut mieux qu'un long discours. » En relisant cet album, je trouve les dessins particulièrement expressifs concernant les décors et les personnages, les visages et les ressentis, sans oublier l'humour. C'est aussi parlant que plusieurs pages de texte dans un roman.
Remarque : contrairement à d'autres BD que l'on peut lire dans n'importe quel ordre, il me semble important pour en profiter pleinement de lire cette série dans l'ordre !
Maintenant, nous en savons beaucoup sur les personnages, leur tempérament, leurs points forts, leur passé et leurs relations entre eux. Nous savons par exemple qu'Émile a passé l'essentiel de sa vie sur un voilier et en Océanie, très proche des peuples autochtones dont il parle plusieurs langues et arbore de nombreux tatouages, sans oublier ses prouesses au rugby, les bagarres et la pêche au trésor. Je savais qu'un jour ou l'autre, on allait reparler de ce trésor, évoqué depuis le premier épisode et enterré dans un petit bois du Tarn-et-Garonne. Cet épisode en apporte le dénouement.
Nous avons appris qu'Émile aime préparer ses coups en secret, comme quand il écrit et crée avec Sophie le spectacle sur l'île de Nauru. Pierre le rappelle à l'aéroport : « Il fait chier, Mimile, avec ses surprises ! » En effet, Émile a mis au point avec Errol une belle aventure, et combiné avec Sophie un spectacle en costumes d'époque. Mais l'essentiel de son projet en Guyane n'est pas le spectacle de Sophie. Et à la fin, Pierre ne râle plus, comme à chaque fois que Mimile dévoile enfin son projet. Même Pierre est content d'avoir participé à cette aventure dans la jungle, pour une bonne cause, et l'histoire se termine avec encore des ouvertures pour de prochains épisodes.
Chouette, vivement le prochain !
