Sept minutes, bientôt six. L’horloge murale accomplit consciencieusement son travail. On pourrait croire que rester debout sans moufter pour quelques poignées de secondes supplémentaires n’est pas bien compliqué…eh bien, si vous le pensez, je vous invite à venir prendre ma place.
Parce que le problème, avec la trappe, ce n’est pas seulement qu’elle finisse par s’ouvrir…c’est que ça fait déjà presque une heure que je suis dessus avec une corde autour du cou…