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Critique de Arctus
Une ancienne condamnée (à tort, évidemment) est victime d'une machination sur une île perdue.
Ou un « thriller » au pays de la collection Harlequin…
Style insipide, personnages caricaturaux, psychologies et comportements sommaires…
La première partie du livre est vraiment sans aucun intérêt, sauf à aimer les histoires d'amour guimauve dont on pressent la fin au bout de quelques pages.
La deuxième partie est plus intéressante, et justifie enfin le terme « thriller » qui figure sur la quatrième de couverture. La machination se révèle peu à peu, et malgré les réactions toujours gnangnan de l'héroïne, on ne peut nier que le scénario est bien ficelé (à un ou deux détails près tout de même), et plutôt bien amené.
Bref, c'est dommage, cela aurait pu faire l'objet d'un livre sympa !
Ou un « thriller » au pays de la collection Harlequin…
Style insipide, personnages caricaturaux, psychologies et comportements sommaires…
La première partie du livre est vraiment sans aucun intérêt, sauf à aimer les histoires d'amour guimauve dont on pressent la fin au bout de quelques pages.
La deuxième partie est plus intéressante, et justifie enfin le terme « thriller » qui figure sur la quatrième de couverture. La machination se révèle peu à peu, et malgré les réactions toujours gnangnan de l'héroïne, on ne peut nier que le scénario est bien ficelé (à un ou deux détails près tout de même), et plutôt bien amené.
Bref, c'est dommage, cela aurait pu faire l'objet d'un livre sympa !
