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Critique de Marti94
Et bien voilà un excellent Nestor Burma qui fait son cinéma pour une "Corrida aux Champs-Elysées". Léo Malet nous offre un nouveau mystère de Paris dans la série éponyme et cette fois ci dans le 8ème arrondissement. Parc Monceau, Saint-Philippe du roule, Arc de triomphe, Place de l'Alma et autres lieux du Paris huppé vont être les terrains d'enquêtes du détective de choc qui souhaitait pourtant prendre des vacances tranquilles à l'hôtel Cosmopolitan sur les Champs-Elysées.
Ce sera pour une autre fois. le commissaire Florimond Faroux n'a pas fini d'être affligé en constatant successivement que Nestor Burma recueille le dernier soupir d'une actrice qui se suicide à l'opium, qu'un journaliste de sa connaissance se fait décerveler, que sa vieille voiture sert de corbillard à une pin-up au doux nom de Monique, une fille qui a une copine également de ses relations, une certaine Micheline qui se retrouve chez le détective et pour laquelle il se fait tabasser par des inconnus. Tout ça sur un fond d'écran avec des producteurs, des stars et starlettes du cinéma, sur lequel Nestor va mettre le mystère Knockout avec beaucoup de brio.
On sent que Léo Malet connaissait bien le monde du cinéma car il a fait pas mal de figuration. Mais là, il joue vraiment la vedette. D'ailleurs, il publie cette "Corrida aux Champs-Elysées » en 1956 et en profite pour évoquer de vraies actrices de l'après-guerre qu'il apprécie comme Martine Carol ou Sophie Desmarets entre-autres.
J'ai vraiment adoré.
Ce sera pour une autre fois. le commissaire Florimond Faroux n'a pas fini d'être affligé en constatant successivement que Nestor Burma recueille le dernier soupir d'une actrice qui se suicide à l'opium, qu'un journaliste de sa connaissance se fait décerveler, que sa vieille voiture sert de corbillard à une pin-up au doux nom de Monique, une fille qui a une copine également de ses relations, une certaine Micheline qui se retrouve chez le détective et pour laquelle il se fait tabasser par des inconnus. Tout ça sur un fond d'écran avec des producteurs, des stars et starlettes du cinéma, sur lequel Nestor va mettre le mystère Knockout avec beaucoup de brio.
On sent que Léo Malet connaissait bien le monde du cinéma car il a fait pas mal de figuration. Mais là, il joue vraiment la vedette. D'ailleurs, il publie cette "Corrida aux Champs-Elysées » en 1956 et en profite pour évoquer de vraies actrices de l'après-guerre qu'il apprécie comme Martine Carol ou Sophie Desmarets entre-autres.
J'ai vraiment adoré.
