J'avoue! J'ai lu les deux premiers tomes du déclic. Est-ce que çà m'a excité? Cela ne vous regarde pas. Puis j'en ai eu ras-le-bol de voir tant de talent gâché. Mais il faut bien vivre. Heureusement, et loin s'en faut,
Manara ce n'est pas que
le déclic. Il n'est pas qu'un pornographe au service de millions de frustrés. Et s'il a gagné du pognon avec çà, tant mieux pour lui, il le mérite. L'été indien, en collaboration avec son maître
Hugo Pratt frôle le chef d'oeuvre.
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