Un roman de même pas 100 pages et pourtant, quelle histoire !
D'abord, c'est une escapade dans l'archipel des Samoa et ce n'est pas si souvent qu'on part dans ces endroits-là.
Ensuite, c'est
Stevenson en fin de vie, si bien conté par
Alberto Manguel que j'y ai retrouvé l'atmosphère de ses livres - les 3 que j'ai lus - tout en me donnant envie d'ouvrir ceux que je n'ai pas encore découverts.
Enfin, ça parle de l'écriture, de la joie de vivre alors que le corps s'épuise, des histoires qui deviennent vraies ou du vrai qui devient histoires, de la rigueur écossaise face à la liberté indigène, de ce que les Blancs apportèrent dans ces îles du bout du monde...
En même pas 100 pages délicieuses.
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