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Critique de evergreen13
La proie des flammes
C'est le premier roman que je lis de cet auteur, appâtée par les avis très positifs sur Babelio. Je ne peux pas dire que j'ai été totalement déçue mais je ne suis pas non plus très emballée, sans doute que j'en attendais trop…
Le début est accrocheur : vers 4 heures du matin, à Gévaugnac petit village de la campagne occitane, la jeune Maylis 13 ans, sort subrepticement de chez elle et s'éloigne de sa maison en trottinette. Son frère la suit. Lorsqu'il la rejoint, il est trop tard : Maylis est immolée sur un bûcher sur les hauteurs du village. L'enquête est confiée au SRPJ de Toulouse et plus particulièrement au capitaine Julie Fraysse : elle connaît bien Gévaugnac, d'une part car elle en est originaire, et d'autre part car deux ans plus tôt, des crimes similaires y ont été perpétrés, des crimes restés impunis, l'auteur n'ayant jamais été confondu. Cette fois, pas question d'échouer, et pour mettre toutes les chances de son côté, la hiérarchie de la capitaine lui demande d'aller voir son prédécesseur, le capitaine Novak. Problème, Novak a pété un câble il y a deux ans et depuis, il est interné en hôpital psychiatrique…
Tout est réuni pour une enquête originale : des personnages attachants (Julie Fraysse que l'on suit également dans sa vie familiale ; Novak victime de délire obsessionnel mais qui reste néanmoins un flic hors pair), un contexte à la limite de l'ésotérisme, du rythme, du suspens. Et pourtant, je ne sais pas trop pourquoi, mais je suis restée un peu extérieure à l'histoire…Sans avoir tout deviné, j'ai su assez rapidement dans quelle direction l'auteur allait nous entraîner, et de fait, cela m'a gâché le plaisir de la lecture.
Impression mitigée donc, mais j'ai deux autres livres de l'auteur dans ma PAL et nul doute que j'en piocherai un autre d'ici peu (je n'aime pas rester sur un « échec »).
C'est le premier roman que je lis de cet auteur, appâtée par les avis très positifs sur Babelio. Je ne peux pas dire que j'ai été totalement déçue mais je ne suis pas non plus très emballée, sans doute que j'en attendais trop…
Le début est accrocheur : vers 4 heures du matin, à Gévaugnac petit village de la campagne occitane, la jeune Maylis 13 ans, sort subrepticement de chez elle et s'éloigne de sa maison en trottinette. Son frère la suit. Lorsqu'il la rejoint, il est trop tard : Maylis est immolée sur un bûcher sur les hauteurs du village. L'enquête est confiée au SRPJ de Toulouse et plus particulièrement au capitaine Julie Fraysse : elle connaît bien Gévaugnac, d'une part car elle en est originaire, et d'autre part car deux ans plus tôt, des crimes similaires y ont été perpétrés, des crimes restés impunis, l'auteur n'ayant jamais été confondu. Cette fois, pas question d'échouer, et pour mettre toutes les chances de son côté, la hiérarchie de la capitaine lui demande d'aller voir son prédécesseur, le capitaine Novak. Problème, Novak a pété un câble il y a deux ans et depuis, il est interné en hôpital psychiatrique…
Tout est réuni pour une enquête originale : des personnages attachants (Julie Fraysse que l'on suit également dans sa vie familiale ; Novak victime de délire obsessionnel mais qui reste néanmoins un flic hors pair), un contexte à la limite de l'ésotérisme, du rythme, du suspens. Et pourtant, je ne sais pas trop pourquoi, mais je suis restée un peu extérieure à l'histoire…Sans avoir tout deviné, j'ai su assez rapidement dans quelle direction l'auteur allait nous entraîner, et de fait, cela m'a gâché le plaisir de la lecture.
Impression mitigée donc, mais j'ai deux autres livres de l'auteur dans ma PAL et nul doute que j'en piocherai un autre d'ici peu (je n'aime pas rester sur un « échec »).
