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Critique de Verdorie


Avant les "Cinquante nuances..." grisâtres...livre que je n'ai pas lu et que je ne lirai certainement pas...on avait écrit d'autres ouvrages "érotiques" français (!) à la sexualité plus "calibrée" (et non dilués à la sauce américaine "golden boy").


Ceci dit, le recueil d'Héléna Marienské, "experte" en littérature érotique, ne m'a pas convaincu.
Dans le "Degré suprême de la tendresse" (phrase subtilisé à Dali), l'auteur fait allusion au plaisir qu'on aura à croquer le bout du gland. Cannibalisme succulent ! La vengeance à prendre (!) sur l'homme, seul détenteur de ce morceau de choix, fait partie intégrale de cette tendresse inégalable.
Mais Marienské, dans huit textes plus ou moins courts, se livre à une exercice de style à la Houellebecq, Céline, La Fontaine, Angot, Ravalec...(e.a.). Cette stylistique littéraire, additionnée au thème de la vengeance (x8) devient lassante quand on a tout simplement envie de lire une histoire pimentée, plutôt que des pastiches empreints de cul-tisme.


À vous de juger (mesdames)...la vengeance de circoncision...un plat à croquer froid...ou chaud ? Des idées qui ne manquent pas de charme, mais qui (pour ma part !), n'a-bout-issent pas...


P.s. Comme j'ai lu ce livre en 2008, je ne fais que traduire (d'après mes notes prises alors) mon ressenti concernant cette lecture, sans pour autant pouvoir restituer des résumés avec exactitude.
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