Infect la première fois, assez amusant si on persiste. De la rigolade, en fait. Des histoires pour rien.
L’anglais qu’on massacre, tout comme le français chancelant du reste, prête toujours à rire. Souviens-toi de cette nouvelle de Maupassant dont l’héroïne, une jeune Anglaise, perdait de son intérêt à mesure que son français s’améliorait. Les lapsus de la baronne, comme dirait l’immonde Kenneth, sont souvent rigolos.
Sur les étagères, on apercevait tout ce que l’on pouvait imaginer en matière de pornographie ; certains ouvrages étaient luxueux, d’autres bon marché, mais tous étaient ignobles.