Les enquêtes de Roderick Alleyn : L'assassin entre en scène (Et l'assassin entra...)

Il était follement amoureux de moi… non, ce n’est pas le mot. Il était totalement subjugué, comme s’il n’existait pas en dehors de moi. J’ai été conquise et… ce qui devait arriver, arriva. Il m’a demandé des centaines de fois de l’épouser, mais je ne tenais pas à me marier et, du reste, j’ai bientôt vu à qui j’avais affaire.

La poussière que l’on trouve sous les lits est bien la pire qui soit.

Je suis devenu une sorte de personnage populaire, paraît-il, et c’est la meilleure des publicités.

Oubliez le passé, sinon vous vous en tirerez avec autre chose qu’un mal au pied.

Tous les amateurs sont des trouble-fête.

Tout le monde est suspect. Tout le monde ment et joue la comédie.

Et quelle ingéniosité ! C’en est écœurant. Tout est propre et net. Pas une seule note discordante. Je vais vous dire une chose que je ne cesse de me répéter depuis le début. Nous avons affaire à un acteur de premier ordre.

Croyez-moi, un innocent n’a rien à craindre mais tout à gagner à dire la vérité. Vous n’êtes pas la fragile petite créature naïve et effarouchée que vous prétendez être. Non, vous êtes une femme mûre et, je dirais, très intelligente.